1. Il jouait Beethoven


    Datte: 27/08/2018, Catégories: f, ff, fffh, fbi, hplusag, jeunes, bizarre, collection, amour, fsoumise, fdomine, ffontaine, pied, Masturbation massage, fdanus, jouet, attache, BDSM / Fétichisme poésie, nostalgie, amourpass,

    ... Elle a apporté des croissants pour le petit déjeuner. Bonne idée : hier soir, j’ai à peine touché au buffet, et j’ai faim. Je vais nous préparer du café afin de nous stimuler après cette nuit blanche. Attablées devant nos bols, nous nous sourions en silence. La séduction n’a pas besoin de mots. Elle enlève ses lunettes pour mieux me dévoiler le gris de ses yeux. Jamais une fille ne m’a fait cet effet. Une belle dans mes bras : je ne croyais pas cela possible, moi qui me pensais incompatible avec la féminité. En traversant le salon, elle a sans doute remarqué les objets de plaisir qui traînent sur le canapé. Elle ne doit pas savoir ce que contient le cendrier, mais je vais tout lui expliquer. Sous la table, elle enlève une chaussure et son pied, ganté d’un collant, glisse le long de ma jambe, écartant un pan du vêtement sous lequel je suis nue. Elle ne tarde pas à constater l’absence de culotte et en profite, tandis que son visage s’éclaire d’un sourire coquin. Je crois que je vais être en retard à mon travail, ce matin. De toute manière, qu’importe la paye, si je me fais virer : j’ai les deux cent mille euros… J’écarte les pans de ma robe de chambre, lui dévoilant mes seins déjà durcis par le frottement sur ma vulve du pied que je saisis à deux mains pour le guider, insinuant les orteils dans la fente encore humide de mes émois masturbatoires de la fin de nuit. Par quelques pincements du nylon, je fais comprendre à la belle Marie que je préférerais que son pied ne soit pas ...
    ... recouvert d’un voile de textile. Rien de plus facile : elle retrousse sa grande robe noire et retire son collant, puis se remet en position. Guidé entre mes doigts, son gros orteil s’insère à l’entrée de mon vagin. Je n’imaginais pas être capable de jouir si vite, surtout après les excès de tout à l’heure, mais un plaisir foudroyant m’oblige à me cabrer en poussant un long gémissement. — Je n’ai jamais connu de femme, lui dis-je. Et toi ?— Moi, si. J’aime baiser. Des hommes, des femmes… Même des transsexuels. Mais qu’importe le sexe du partenaire, ce n’est pas cela qui est important. Ce qui est important, c’est la rencontre. Seule compte la personne en elle-même. Je me lève et lui montre ma nudité. Certes, mes charmes n’ont rien d’exceptionnels, et j’ai craint un instant de ne pas lui plaire, qu’elle fasse la moue. Heureusement, il n’en est rien. — Et toi, tu ne te déshabilles pas ? Je voudrais que tu m’inities aux plaisirs saphiques.— Pas tout de suite, dit-elle. J’ai envie de te masser le dos. Tu vas voir : cela fait beaucoup de bien, surtout après une nuit sans sommeil. Tu te sentiras détendue. Tu veux bien t’allonger sur la table ? Elle sort de son sac à main un flacon d’huile parfumée. C’est apparemment la même que celle de la soirée : elle a dû en récupérer – elle a raison, il aurait été dommage de la laisser se perdre. Elle me masse le dos, en commençant par la nuque jusqu’au coccyx, en suivant la colonne vertébrale, alternant application caressante du fluide odorant et ...
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