Il jouait Beethoven
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
f,
ff,
fffh,
fbi,
hplusag,
jeunes,
bizarre,
collection,
amour,
fsoumise,
fdomine,
ffontaine,
pied,
Masturbation
massage,
fdanus,
jouet,
attache,
BDSM / Fétichisme
poésie,
nostalgie,
amourpass,
... façon de me sucer la chatte dont je n’aurais cru capable aucun homme. Auparavant, j’avais connu une fille avec laquelle j’avais vécu une histoire de cul : avec lui, j’ai retrouvé cette manière fantastique de sucer, en faisant rouler mon clitoris sur l’extrémité de sa langue, longuement et toujours de la même manière, jusqu’à me faire littéralement exploser, dit-elle en mimant avec sa propre langue comment il faisait. Oh, il va falloir que j’aille me changer : j’ai trempé ma culotte rien qu’en évoquant ces souvenirs ! Elle me caresse le bras tout en parlant, d’une invitation explicite à des jeux saphiques. Je me recule d’un pas. — Désolée, dis-je, je ne suis pas lesbienne. Peut-être y a-t-il quelques bisexuelles dans la salle ?— Dommage… tu es belle et tu me plais beaucoup ! Peut-être que tu dis non parce que tu n’as jamais essayé ? Je suis douce, tu sais !— N’insiste pas. Dépitée, elle se dirige vers le buffet afin de se consoler en se gavant d’huîtres et en se saoulant au champagne. Maria vient m’aborder. Elle est sans doute la plus jeune de l’assemblée, peut-être dix-neuf ou vingt ans, et l’une des dernières compagnes de l’écrivain. Ravissante, surtout avec sa longue robe bleue et son épaisse chevelure brune, et surtout, derrière ses lunettes aux épaisses montures noires, des yeux gris clair incroyablement profonds et brillants. Elle a gardé un délicieux petit accent russe qui lui font rouler les R. Pierre avait un talent fou pour dénicher de véritables déesses. Si un ...
... jour – comme le suggère Magali – je craque pour une fille, ce sera sans doute pour quelqu’un qui lui ressemble et que je devine, dans l’étreinte, être un volcan de sensualité. Pourquoi pas ? La solitude me pèse. Si elle me drague, je la suis. En attendant, j’ai envie de l’écouter me parler de lui. — Peut-être as-tu un souvenir à me raconter ?— Il disait, dit-elle, que son pauvre plaisir masculin n’était rien devant celui, incroyablement supérieur, d’une femme, et buvait le mien dans mes yeux qui brillaient, en disant que cela lui apportait bien plus de satisfactions que jouir lui-même. Dans cette optique, il avait construit de ses mains un fauteuil muni de parties pénétrantes et vibrantes qu’il voulait que j’insère dans mes zones intimes avant de lire quelques chapitres de l’un de ses livres. Tout cela complètement nue, bien sûr. Il me filmait pendant ma lecture, mais seulement au-dessus des seins, car il disait qu’il n’aimait pas la pornographie. Quand j’en arrivais aux passages les plus torrides de ses histoires – il y en avait presque à toutes les pages –, il tournait un bouton pour augmenter l’intensité des vibrations et, naturellement, cela me faisait jouir. Il fallait quand même que je continue ma lecture ! Cela l’amusait énormément d’entendre ma voix brisée par le plaisir, en train de lire des passages obscènes où, par exemple, des jeunes filles aussi belles qu’innocentes se faisaient passer dessus par des meutes entières de satyres en rut… Puis – mais seulement quand je ...