1. Le Tableau - Première partie


    Datte: 29/07/2017, Catégories: fh, couple, fsoumise, facial, Oral pénétratio, jeu, conte,

    Petite fille, je connaissais un jeu infaillible pour me faire peur : il suffisait de sortir de la maison au crépuscule, d’aller dans une rue déserte et de commencer à marcher au milieu de la chaussée, en pensant qu’un inconnu me suivait… La règle (inventée pour Orphée, c’est dire si elle date !), était de ne pas se retourner. La panique me prenait au bout de dix pas seulement ! Je n’ai jamais réussi à aller jusqu’au bout de la rue sans me retourner… Mais bizarrement, la peur éprouvée reste un souvenir intense, et se mêle de plaisir. Aujourd’hui, à trente-cinq ans, je suis mariée avec Ben, un marchand de tableaux anciens mais aussi propriétaire d’une galerie d’art contemporain, très influent sur la place de Paris. Il a dix ans de plus que moi, il est grand, bel homme, rit fort, mange beaucoup, boit trop, et possède une autorité non dénuée de cynisme. Il gagne beaucoup d’argent, c’est vrai, et traite le monde de l’art avec une sorte de désinvolture – seul avec moi, il professe même du mépris pour certains des créateurs les plus cotés du moment, mais son flair lui apporte pourtant un succès toujours grandissant. Disons que les peintres ont tendance à être extrêmement polis avec lui… Parfois, je me dis qu’il m’a épousée comme il achète certains tableaux : pour pouvoir jouir de moi, à sa disposition. C’est un peu injuste de penser cela : il n’est ni cruel, ni méprisant. Mais son appétit de moi est tel, on dirait de la gourmandise, de la convoitise insatiable : ainsi, quand il ...
    ... veut faire l’amour avec moi, il me déshabille fébrilement, m’emporte sur le lit en me soulevant sans effort apparent (il est vrai que je suis plutôt menue à côté de lui), écarte mes jambes et, après m’avoir contemplée ainsi un moment, ne prend que peu de temps pour m’embrasser ou me caresser le corps : il aime rester debout devant mes jambes écartées, me pénétrer lentement mais d’une seule traite, et ensuite aller et venir dans moi, en donnant fort longuement de grands coups, qui viennent taper au fond de mon con en faisant trembler tout mon corps, jusqu’à mes seins qui bougent et remuent sous l’assaut. Il n’y a aucune violence dans sa manière de faire, mais je suis, la plupart du temps, par la force des choses, passive sous ses mouvements à lui. Ses grands mouvements m’excitent, et me font mouiller, ce qui semble les accélérer encore, mais je n’arrive pourtant pas à atteindre l’orgasme… Sauf en certaines occasions. Ben peut continuer longtemps de me baiser avant de jouir lui-même : souvent, il me retourne et me prend en levrette, ou bien il décharge dans ma bouche, quand, après une longue séance, il me tend sa bite, en ajoutant quelques mots : — Dépêche-toi mon amour, prends-moi, suce-moi bien et fort : je suis tout près, là… Il aime que j’avale son sperme, ce que je fais docilement. Là encore, je suis passive, et si je gémis, c’est autant pour l’aider à me baiser (il n’en a pourtant guère besoin, vu son appétit si souvent renouvelé), que par une sorte de frustration. Pourtant, ...
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