Le Tableau - Première partie
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
facial,
Oral
pénétratio,
jeu,
conte,
... certaines fois, rarement je dois le dire, mais n’est-ce pas dû à ma paresse, et à ce « laisser-faire » qui s’est installé entre lui et moi, je vais jusqu’au bout de la jouissance : c’est souvent lorsque mon mari m’a très longuement baisée, parfois plus d’une heure durant, et de plusieurs façons, sans être parvenu lui-même à l’orgasme. Il s’abat alors sur le lit à mon côté, s’étendant sur le dos, le sexe encore dressé et humide, les couilles remontées : on dirait presque que bander le fait souffrir… J’ai enfin le temps, alors, de l’enfourcher, et le fait d’être active augmente mon plaisir et mon excitation. Ben le sent dès que sa queue est bien installée en moi, mais alors, il attrape mes hanches pour me donner « le bon rythme », me faire coulisser sur son manche de manière satisfaisante… Je crois que, de moi-même, j’irais beaucoup plus doucement, et sentirais ainsi l’orgasme lentement monter de mon ventre. Néanmoins, c’est dans cette position que j’arrive à jouir, presque par surprise. Ben, quand il sent mon dos se cambrer et ma peau devenir humide, sous le frisson du spasme, lâche mes hanches et pose ses mains sur mes seins, qu’il manie et dont il tourne les pointes sans trop de douceur, en admirant à voix haute le volume et la forme de mes globes – j’ai en effet une forte poitrine, aux aréoles brunes, heureusement bien accrochée et qui répond docilement aux sollicitations… Je n’ai jamais osé lui avouer que je préférerais des caresses bien plus subtiles, moins ...
... pétrissantes. Il me semble que s’il laissait simplement ses mains levées devant mes seins, mon mouvement de va-et-vient permettrait à mes pointes durcies de simplement frôler ainsi la paume de ses mains – augmentant ainsi, subtilement, le jeu sexuel qui me fait jouir… En tout cas, ces rares fois où nous jouissons tous les deux correspondent souvent aux soirées où nous rentrons tard, après des cocktails, lors du vernissage d’expositions – et la séance de baise dure fort longtemps, avant que Ben ne vienne s’écrouler auprès de moi, m’offrant une de ces rares occasions où je prends l’initiative. Ce fut le cas, lors de l’histoire étrange que je vais vous raconter. Dès le matin, j’avais été surprise : Ben m’avait en effet annoncé que le vernissage d’une nouvelle exposition avait lieu le soir même. Il m’avait recommandé de porter ma robe noire – parfaite dans un milieu comme le nôtre, où les couleurs que l’on doit regarder sont accrochées aux murs, mais sage et sexy à la fois, car fort décolletée dans le dos, ce qui empêche de porter tout soutien-gorge. Lorsque, comme moi, on a la taille mince mais des seins conséquents, cette tenue est certes de circonstance, mais provocatrice ! J’avais l’habitude de jouer ce rôle de « maîtresse de maison », à la galerie, et je savais que je le tenais bien. Mais cette fois-là, Ben parlait du peintre qu’il exposait avec comme de l’admiration dans la voix. J’ai déjà dit la désinvolture, pour ne pas dire le mépris, avec lesquels mon mari parlait de ceux qui ...