Le Tableau - Première partie
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
facial,
Oral
pénétratio,
jeu,
conte,
... restés dans mon atelier, et vous m’avez fait une telle offre que je suis confus de votre générosité. Comment pourrais-je vous remercier, tous les deux ? J’ai failli proposer, dans un mouvement spontané, d’acheter à Yann, en guise de remerciement, le tableau de la fillette au crépuscule. Mais Ben avait pris les devants : — Vous ne me devez rien, Yann, un artiste comme vous ne doit rien à personne. Mais il est vrai que, maintenant que vous avez vu Ludivine, vous me feriez le plus grand des plaisirs, si vous aviez envie de la prendre pour modèle. Il y avait, dans la voix de Ben, comme l’excitation d’un petit garçon prêt à pleurer si on ne lui donne pas tout de suite ce qu’il réclame, et j’étais gênée de sa demande, dont il ne m’avait même pas fait part. Mais Yann sut tout de suite me mettre à l’aise : — J’y ai pensé, Ben, dès que j’ai vu votre épouse, et j’en ai le plus grand désir. Je crois d’autre part que Ludivine préfère mon seul tableau figuratif à toutes les toiles abstraites accrochées ici. Je vous propose donc de l’inviter, dès demain, pourquoi pas, à mon atelier : elle contemplerait des toiles qui pourraient lui plaire, pendant que je commencerai, si elle le veut bien, à la peindre. Les choses furent entendues ainsi… Le vernissage commençait, il fut long, et assez déroutant, car beaucoup de personnes ne supportaient pas les œuvres de Yann, tandis que d’autres, visiblement, ne pouvaient en détacher le regard… Le petit milieu (car il s’agit tout au plus de quelques ...
... centaines de personnes) de l’art contemporain semblait perdre pied, tout comme moi. Nous sommes rentrés fort tard, Ben et moi. La séance qui suivit fut une des plus intenses et fort étrange : bien entendu, nous avions envie de faire l’amour tous les deux, comme après chacune de ces soirées. Mais le tableau si longtemps contemplé, le frisson ressenti, le souvenir du regard de Yann, joints à l’attente de notre rendez-vous du lendemain, me rendaient peut-être plus hardie : en tout cas, ce fut moi qui, dès que Ben m’eut rudement déshabillée et allongée sur le lit, me redressai du lit. À sa grande surprise, je me mis à genoux devant lui, et défis moi-même sa ceinture, puis baissai la fermeture éclair de son pantalon, et enfin dégageai lentement son membre de son slip : il se redressa d’un coup devant moi. Ben bandait fort, comme à son habitude, et son sexe était long et droit. Je l’embouchai directement, sans l’humecter de ma salive et sans lécher la hampe – peut-être pour correspondre au long mouvement qu’il pratiquait quand il me pénétrait. Je le fis aller le plus loin que je pus dans ma bouche, puis, le caressant par en-dessous de ma langue, le pompant profondément, à m’en creuser les joues, je le suçai – presque sans douceur, pendant que mes mains, enfoncées dans le pantalon, palpaient ses couilles. Toujours debout, il avait enfoncé ses mains dans mes cheveux blonds, relevés en chignon, et gémissait sourdement. J’ai accentué la pression de ma langue, de ma bouche entière : Ben, qui ...