Ophélie, de femme à femelle (5)
Datte: 29/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... qu’il s’est retiré, laissant simplement ses doigts dans mon fondement et, sur mon clito. Je jouis puisement, sans pouvoir me retenir, sans pouvoir m’arrêter de crier mon plaisir. Je tremble de partout, mes jambes ne me supporte plus tellement que ma jouissance est forte, je suis simplement retenue par la main d’Arnaud sous mon ventre. Il retire ses doigts de mon anus, et viens positionner son gland à la place. Je suis abattue, je n’ai même plus la force de lutter. Je sais ce qu’il compte faire, mais je ne peux plus lutter, je suis sa poupée entre ses mains. Je le sens forcer sur mon anus, même lubrifier, ça a du mal à passer, il s’y reprend plusieurs fois et, sur une poussée plus forte, son gros champignon arrive à passer mes sphincters, m’arrachant des larmes de douleurs. J’ai l’impression que l’on vient de me pénétrer avec des braises. La douleur est terrible et, je hurle de douleur. Arnaud ne bouge plus, sa queue planté dans mon cul, il doit savourer son emprise sur moi. - Putain ce que ton cul est étroit ma chienne. Tu me sers trop la bite ! Je l’entends cracher derrière moi, il doit lubrifier le reste de son sexe. Je souffle, transpire et pleure lorsque je le sens avancer dans mon cul, malgré la lubrification. Chaque millimètre de se barreau me brule, me fais crier mais ça ne l’arrête pas. Il continu sa longue progression jusqu’à ce que je sente le haut de ses cuisses buter contre mes fesses. - Ah, voilà, tu l’as prise entière ma ...
... chienne. C’est mieux que mes doigts hein, salope ? Je ne peux lui répondre, j’ai le souffle coupé, au bord de l’évanouissement. N’attendant aucune réponse de ma part, il commence à faire de petits vas et viens, augmentant au fur à mesure son amplitude. C’est au bout de plusieurs minutes, que je subis de violents coups de butoir dans mon cul, entendant Arnaud pousser des râles de plaisirs, appréciant cet orifice apparemment. Pour moi, la douleur est trop forte, toujours présente, je suis sure qu’il m’a déchiré le cul, j’attends dans la souffrance la fin de ce calvaire qui arrive vite, il se calle contre mes fesses, m’agrippant mes hanches il se vide dans mon intestin. Voilà, tu es une enculée me dit-je en moi-même, une salope enculée. Sans plus de considération pour moi, il se retire de mon cul, son sexe débandé, me libère les poignets et me dit en me claquant les fesses : - Allez salope, tu vas être en retard, je vais être obligé de te punir. Il me laisse là, les fesses à l’air, le cul défoncé, affalée sur le capot de sa voiture, essayant de reprendre mon souffle, mes esprits, mon calme. Au lieu de m’effondrer, de m’enfuir, je glisse ma main sous mon ventre, effleure mon clitoris, caresse mes lèvres. Je sens son sperme s’écouler de mon anus, coulant sur mes doigts, je soupire, pas de douleur ni de honte mais de plaisir. Je me doigts doucement ma chatte, j’ai envie de jouir ! J’ai envie de me faire jouir. Je suis une salope ! Une chienne !