Ophélie, de femme à femelle (5)
Datte: 29/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... regarde avec envie et me demande de mettre mes mains derrière la tête. Le son de sa voix me glace et, me fait obéir. La position demandée me fait bomber le torse et, par conséquent ressortir ma grosse poitrine. Le froid et, l’excitation a pour effet de faire pointer mes tétons. Arnaud tourne autour de moi, je peux sentir son souffle sur mes épaules, ma nuque. Malgré moi cette situation m’excite. Je sens le désir, l’envie de mon patron. Du haut de ma quarantaine, je fais toujours envie à ce pervers, j’ose même un coup d’œil rapide à son entre-jambe. Il le voit et souris de plus belle. Il s’approche de mon oreille et me murmure : - Tu as vraiment un corps de salope ! Et en me prenant les pointes de mes seins entre ses doigts me demande si je me rappelle de la séance d’hier soir. Je lui réponds que c’était une erreur, que je n’étais pas moi-même, qu’il ne faut pas recommencer. Cette réponse ne le satisfait pas et en accentuant la pression sur mes tétons il me rétorque en serrant les dents. - Comme ça madame la salope a eu son coup de bite, elle a jouis comme une chienne et, maintenant se défile ! tu crois que je vais m’en contenter sale chienne ? Mes tétons pincés par ses gros doigts m’électrisent, m’excitent et, je pousse un Ah de douleur et de plaisir. Jamais on ne m’avait maltraité les seins de la sorte. Je ferme les yeux pour apprécier ce traitement malgré moi. Tout en me tenant par mes pointes, il insiste. - Dit moi ce que tu m’as céder hier soir salope ! dit moi ce que ...
... tu veux devenir pour encore gouter à ma bite salope ! Je gémis de douleur et de plaisir, je sais très bien qu’il ne ma lâchera pas tant qu’il n’aura pas obtenu ce qu’il demande et, dans un murmure je lui avoue : - Je veux devenir une chienne, votre chienne. Je le sens jubilé, il vient d’obtenir ce qu’il voulait, ce qu’il est venu chercher. Il tient entre ses doigts une bourgeoise qui vient de lui avouer qu’elle veut devenir sa chienne. J’imagine son sentiment de domination qu’il doit éprouver à cet instant. A cet instant précis, si j’avais pu disparaitre, je l’aurai fait avec plaisir mais j’étais là, toute nue, les mains derrière la tête, tenue par les tétons par un homme à qui je venais d’avouer que je voulais qu’il me traite comme une chienne. Cela aurai du me dégouter, m’effrayer, mais tout au fond de moi, j’étais excitée, je me remémorée les orgasmes à répétition d’hier soir, cette sensation d’être remplie comme jamais. Si l’homme me dégoutait, ce qu’il avait entre les jambes m’excitait ! En regardant sa montre, il me demande à quelle heure doit arriver l’aide-soignante. A 8h30 - Très bien, il est 8h21, ça te laisse moins de 10 minutes pour me faire jouir salope. Sur ces mots, il sort son sexe à moitié bandé de son pantalon. Je reste interdite, fixant cette hampe qui, il y a quelles heures était en moi, me fessant jouir comme jamais. J’attendais comme la dernière fois qu’il se masturbe et jouisse sur moi. Devant mon inactivité, il vient appuyer sur mon épaule, me fessant ...