1. Jean-Paul et les deux belles


    Datte: 30/08/2018, Catégories: ffh, couple, hotel, amour, Oral fgode, fist, fdanus, fsodo, coprolalie,

    Il s’est endormi au dernier coup de reins, le membre fiché jusqu’à la garde dans le cul magnifique qu’Adèle lui a offert une grande partie de la nuit. Elle adore conserver en elle la colonne de chair qui l’a puissamment investie de longues minutes et la sentir ramollir et reprendre une taille moins imposante. Lentement le sexe de son compagnon se retire et s’endort, à son tour, entre les fesses humides de sperme et de sécrétion intimes. Adèle écoute, dans son dos, la respiration régulière de son amant. Elle-même retrouve peu à peu un cœur plus lent et une respiration sereine sans que le sommeil la prenne pour autant. Avec mille précautions, elle s’extrait du lit où l’homme dort maintenant profondément. Elle quitte la chambre, traverse le couloir pour rejoindre Lydia logée dans la pièce voisine. — Alors ?— Putain quel pied. Je n’ai jamais baisé comme ça.— Même avec moi ?— Non, mais avec toi, c’est pas pareil.— Une vraie machine à fourrer ce mec. Il m’a mis le feu partout. Il ne débande jamais. Il a à peine déchargé dans la chatte qu’il te la met dans le cul sans compter les deux ou trois pipes. Il ne m’a pas lâchée pendant presque quatre heures.— Donc, si je comprends bien, il ne reste rien pour moi ? résume Lydia.— Oh, si, il te reste moi qui ai besoin de ta douce langue dans ma chatte malmenée et de tes longs doigts pour calmer le feu de mon cul. Tu sais, je préfère vraiment ton gode à sa bite.— Oui, ben pour l’instant, je suis en manque, moi, je croyais que tu m’avais ...
    ... oubliée. Tu serais venue cinq minutes plus tard, tu me trouvais en train de me branler de désespoir.— Ma pauvre chérie, viens ici, je vais t’en donner de la baise et de la vraie comme seule ta gouine chérie est capable de te donner. Il m’a chauffée à mort le salaud et c’est toi qui vas récolter le résultat. Prépare ta chatte et ton cul. Je vais te les bouffer et fourrer tout le reste de la nuit.— Vas-y ma belle gouine, dit Lydia en écartant les cuisses au maximum. J’en veux dans tous les trous. Je veux de la langue, du doigt, du gode. Je veux jouir à mort. Adèle plonge, langue en avant dans la fourche blonde qui l’appelle. Elle lèche, mordille grandes et petites lèvres, suce le clito puis enfonce sa langue raide comme une bite le plus profond possible. La langue virevolte tandis que Lydia se démène pour s’offrir davantage à grands coups de bassin. Le dos se cambre les fesses se soulèvent. Adèle en profite pour glisser son index jusqu’à l’anus palpitant qu’elle flatte de la pulpe du doigt. — Oui, vas-y, dans le cul. Doigte-moi, encule-moi comme il t’a fait. Essoufflée pour avoir voulu soutenir le rythme frénétique de son amante, Adèle remonte, à coups de langue, de la chatte à la bouche de Lydia. Allongée sur elle, seins contre seins, elle lui mange la bouche comme pour lui faire partager les sucs baignant ses lèvres. — Tu sens le bon goût de ta chatte sur mes lèvres ? Je veux en boire tous les jours.— Tu en auras tant que tu me baiseras aussi bien. Tant que tu me feras jouir aussi ...
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