Jean-Paul et les deux belles
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
ffh,
couple,
hotel,
amour,
Oral
fgode,
fist,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
... les plus osés de sa femme. Lydia, à genoux sur le lit, contemple le beau spectacle de ce corps alangui dont le sexe est encore occupé par le phallus artificiel qui l’a si bien défoncée. — Dehors, la bite, dit-elle en arrachant l’engin de son nid et sa tête plonge dans la fourche grande ouverte d’Adèle qui l’accueille et la guide des deux mains noyées dans sa crinière rousse.— Oui, ma belle, bois, lèche, suce, doigte, bouffe. Pendant de merveilleuses minutes où seuls les soupirs, les clapotis humides les crus encouragements meublent la pénombre de la chambre, les deux femmes se donnent l’une à l’autre, s’enlacent, se palpent, se pénètrent. Lydia s’attache particulièrement à préparer sa compagne pour une jouissance anale dont elle sait l’effet très addictif. — Tu as un cul de reine. Je vais le célébrer comme il le mérite. D’abord avec ma langue puis avec mes doigts et enfin ma main. Tu la veux ma main dans ton joli cul ? Dis-moi que tu la veux.— Oui, mets-moi ta main, mon amour. Défonce-moi le cul comme tu aimes, ma belle gouine. La main de Lydia progresse lentement dans l’étroit conduit tandis qu’Adèle s’abandonne. Elle sent la bouche de Lydia sur ses seins dans son cou puis les lèvres qui cherchent sa bouche, la langue qui s’insinue comme le plus doux des serpents à la recherche de sa propre langue pour entamer la plus chaude et humide des danses. Enfin, toute la main a trouvé sa place Lydia lui laisse le temps de se faire totalement accepter. — Ça va ?— Oui, vas-y ...
... donne-moi, explose le fion de ta femme. Adèle se déhanche le cul dressé comme si elle en voulait encore plus. La main de Lydia s’agite en profonds va-et-vient. Adèle hurle sous le douloureux plaisir qui l’envahit avant de se laisser aller dans les coussins au bord de l’évanouissement. Les deux femmes enlacées se laissent, alors, lentement descendre du millième ciel où elles ont su mutuellement se conduire. La main de Lydia a attendu sagement que le corps d’Adèle l’expulse en douceur. La bouche d’Adèle suçote encore le lobe de l’oreille de Lydia. Elles se laissent pendre par le sommeil dans la chaleur et les odeurs de leurs de corps repus de plaisir. Un rayon de soleil matinal titille l’œil de Lydia qui n’ose bouger de peur d’éveiller Adèle enroulée contre elle comme le lierre à l’arbre. Elle contemple son amoureuse dont l’une des cuisses est calée contre son pubis. Lydia ne résiste pas longtemps à l’envie d’exercer un imperceptible mouvement du bassin et donc de la chatte sur la cuisse d’Adèle. Elle frotte, frotte et sa chatte s’ouvre et suinte de plaisir. Malgré elle, le mouvement prend vite de l’amplitude. Son souffle devient soupir. — Alors, on se fait une petite branlette sans m’attendre ? dit Adèle avec un large sourire.— Oh, je croyais que tu dormais. Pardonne-moi, mais j’avais trop envie.— Vas-y, continue, je te prête ma cuisse pendant que je finis de me réveiller, mais un petit doigt sur mon clito ne serait pas de refus.— Même deux, maintenant que je n’ai plus peur de te ...