1. Jean-Paul et les deux belles


    Datte: 30/08/2018, Catégories: ffh, couple, hotel, amour, Oral fgode, fist, fdanus, fsodo, coprolalie,

    ... fort. Va chercher le gode-ceinture, je veux que tu me fasses tout ce qu’il t’a fait.— Alors prépare ton cul, ma belle salope, il va chauffer, dit Adèle en se précipitant dans la salle de bain. Elle revient cinq minutes plus tard, arborant un phallus plus vrai que nature.— Qu’est ce que c’est ce truc ? fait Lydia avançant les mains pour vérifier l’objet.— Ça, c’est notre nouveau joujou. Une partie dans moi et tout le gros bout dans toi. C’est bien mieux que le gode-ceinture parce que là, je prends mon pied autant que toi.— Super, vas-y montre-moi ça, se réjouit Lydia en se positionnant en levrette. Dans la chatte d’abord, pour essayer, et après tu me feras le complet.— Tu vas voir, ma gouine, tu vas adorer. Adèle saisit Lydia par les hanches. Elle ne se lasse d’admirer ces belles fesses séparées par un profond sillon dans lequel elle promène lentement, de bas en haut, le gland de son phallus artificiel. — Vas-y, mets-la-moi profond, qu’est ce que tu attends, tu vois pas que je dégouline ? s’impatiente Lydia plaquant son cul contre le ventre de son amante. Je veux ta bite au fond de moi, que tu me limes à en crever. D’un seul coup de hanche, Adèle lui obéit. Elle sent la violence de son assaut dans son propre ventre. La grande et belle danse commence. — Tiens, prends-la. Sens comme elle te remonte loin. Elle va te faire gueuler comme jamais. Adèle est comme fascinée par le spectacle de ces magnifiques fesses qui se donnent et s’ouvrent en cadence à ses saillies. Elle les ...
    ... cramponne, les pétrit, les écartant de ses deux pouces qui peu à peu se joignent pour pénétrer ensemble dans cet anus qui ne demande qu’à être investi. — Oui, maintenant, dans mon cul, souffle Lydia, la tête dans les coussins.— Tu veux déjà que je t’encule, gourmande ? Elle bonne ma bite, hein ?— C’est toi qui es bonne, ma gouine chérie. Tu es la seule à me faire partir si vite. Vas-y fort dans mon cul. Il est pour toi. Je te le donne pour toujours. Adèle chevauche sa femme avec la ferveur que lui provoquent les mots qu’elle entend. Ils l’excitent et la ravissent. Elle aime cette femme, elle aime la faire jouir, l’entendre crier de plaisir et d’amour. Elle sent monter en elle la même jouissance, son orgasme la submerge comme celui qui fait crier Lydia. Les deux amantes s’écroulent sur le lit, épuisées et repues. Allongées sur dos de Lydia, Adèle profite de la douceur moite du corps de son amante. Elle se repaît des rondeurs de ce cul fabuleux contre son ventre encore uni par le précieux jouet de plaisir. Elle remonte lentement les mains pour empaumer les seins lourds et fermes et voudrait, comme cela, se laisser gagner par le sommeil, mais Lydia en veut encore. — Ne t’endors pas ma chérie, dit-elle en se dégageant de l’emprise d’Adèle. Je veux te rendre le plaisir que tu m’as donné. Allez, donne-moi cette jolie chatte toute trempée. J’ai soif, j’ai la langue toute sèche. Adèle se laisse retourner comme une poupée de chiffon, les yeux fermés, prête à recevoir et profiter des désirs ...