Jean-Paul et les deux belles - Histoires de Sexe

Jean-Paul et les deux belles

... réveiller. Que dirais-tu d’une petite langue aussi, ajoute Lydia en soulevant et écartant les cuisses de sa chérie. À genoux sur le lit elle tient Adèle complètement renversée, les pieds derrière la tête et elle plonge sa langue dans la belle chatte ouverte. Bientôt deux doigts entrent dans la danse et fouillent au plus profond la caverne juteuse sous les feulements d’Adèle. — La nuit ne vous a donc pas suffi ? La voix de l’homme a fait sursauter les deux femmes et interrompre leurs ébats en se pelotonnant l’une contre l’autre dans le grand lit. Il est là, nu, dans l’encadrement de la porte, un large sourire éclairant son mâle visage bronzé décoré d’une courte barbe noire. Il avance vers le lit d’un pas nonchalant comme s’il voulait laisser le temps à Lydia qui ne l’a pas encore rencontré, de découvrir son magnifique corps d’athlète d’un mètre quatre-vingt-quinze.— Mais c’est qui ce mec ? chuchote Lydia à l’oreille de sa femme.— Ben, c’est Jean-Paul, mon plan cul d’hier soir. T’as vu la bête ? Debout au pied du lit, en vrai macho qu’il se vante d’être, l’homme regarde en souriant les deux femmes enlacées. Bien campé sur de musculeuses jambes légèrement écartées il caresse la partie de son corps dont il est le plus fier ; une belle queue aux dimensions bien supérieures à la moyenne. —Room service, pour ces dames, dit-il en entretenant son érection d’une main ferme et active.— Ah mais, il y a maldonne là, répond Lydia. Adèle ne t’a pas tout bien expliqué, ou tu n’as pas ...

... compris.— Je ne lui ai rien dit, chuchote Adèle. J’ai joué le plan cul à fond pour que ce soit plus naturel, qu’il donne tout ce qu’il a.— je peux savoir ce que vous marmonnez toutes les deux ? s’inquiète « bite de marbre" puis s’adressant à Lydia— Parce que, moi, je suis prêt pour une deuxième séance avec toi, si le cœur t’en dit.— Ah non, très peu pour moi, j’ai tout ce qu’il me faut à la maison, répond-elle en plongeant une main entre les cuisses de sa compagne et elle aussi, d’ailleurs. Mais comme elle préfère la bite d’un étalon à la seringue d’un gynéco c’est toi que nous avons choisi pour nous faire un enfant. Tu piges maintenant ? Il n’y a que le contenu de tes couilles qui nous intéresse vraiment.— Oui, mais la séance d’inoculation vaut le détour, tout de même, précise Adèle en se chatouillant le clitoris.— Et les trois pipes et le coup dans le cul ? demande Jean-Paul décontenancé.— Un petit bonus pour me faire des souvenirs, répond Adèle.— Parce que tu as besoin de te faire enculer par un mec pour avoir des souvenirs, toi ? s’offusque Lydia en plantant deux de ses doigts dans le cul de sa femme.— Tiens, en voilà du souvenir, ma salope adorée. Au pied du lit, Jean-Paul, les mains sur les hanches et la queue enfin molle, regarde les deux femmes s’embrasser à grands coups de langue, les mains actives sur les seins et dans les chattes sans se préoccuper de lui. — Bon, ben, je crois que je vais vous laisser entre vous. N’hésitez pas à me contacter si vous pensez avoir encore ...