1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (47) : l’inconnu de la plage


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    La première semaine de ces vacances 2014 dans ce camping sur l’océan avait été bien remplie et marquée par notre rencontre avec Renaud et Ambre. Pour cette seconde semaine, nous en avions assez de la tente, nous nous sommes donc décidés de changer pour un bungalow, plus confortable pour un couple mur. Renaud m’avait pleinement satisfaite, mais je n’étais pas fâchée de leur départ car j’avais peu goûté, c’est le moins que l’on puisse dire, la proximité entre la jeune Ambre et Philippe, même si cette petite garce m’avait à plusieurs reprises bien gouinée. Je demandais à Philippe de retourner à la plage naturiste. LE FEU VERT DE PHILIPPE Je me sentais de plus en plus à l’aise nue, à tel point que quand nous allions en ville faire des courses ou nous promener, je ne prenais même plus la peine de mettre des sous-vêtements sous mes robes. Sur la plage, il s’était formé autour de moi une petite cour de mateurs et je prenais plaisir à ne rien leur cacher de mon intimité. J’avais repéré sur la plage un homme qui ne cessait de m’observer et l’étincelle dans son regard était sans aucun doute celle de l’envie. Il était l’archétype de l’homme de 50 ans qui cherche à plaire : sportif, bronzé, assez poilu, cheveux poivre et sel, m’as-tu vu, bien doté par la nature ! Cet homme dégageait une assurance et une virilité qui ne me laissaient pas indifférente. Il était, bien au contraire, le genre de mâles qui m’attire, comme cela sera une nouvelle fois le cas deux ans plus tard sur une autre ...
    ... plage, en Grèce, avec N. Son instinct avait dû lui faire comprendre que, bien qu’ayant avec moi avec un compagnon ou un mari, je n’étais pas du genre farouche et que celui-ci était pour le moins complaisant, sinon complice. La semaine précédente avait d’ailleurs construit ma réputation sur ce lieu de vacances. A partir de quelques conversations sur la plage, l’homme avait compris que j’étais une occasion à ne pas laisser passer. Je ne prenais plus la peine de mettre mes lunettes de soleil, nos regards se croisaient donc souvent. Et quand on allait se baigner, je prenais toujours soin de passer au plus près de lui… Nous étions encore sur ce lieu de vacances une semaine, il n’y avait pas de temps à perdre. Il me voulait, c’était évident et moi aussi j’en avais envie. Alors, pourquoi attendre ? Alors que je jetais des coups d’œil furtifs à ce gars, Philippe me demanda ouvertement : • Il te plait ? • Oui, j’ai envie qu’il me baise. Il n’y a pas de mal à se faire plaisir, mon chéri. Nous sommes venus ici pour ça, n’est-ce pas ? J’embrassais Philippe amoureusement : • Tu n’es pas contre, mon chéri ? N’oublies pas que c’est largement à cause de toi que je suis ainsi. • Tu sais bien que je ne te refuse rien, du moment que je sais que ma chérie prend son pied. Tu me promets de ne rien me cacher et d’éviter tout dérapage ? • Evidemment, je ne connais même pas ce type. Ne t’inquiète pas, c’est purement sexuel et j’ai pris la pilule. J’ai envie de ce type, voilà tout. • Comme tu y vas. Tu ...
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