1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (47) : l’inconnu de la plage


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ça. Je suis face à l’endroit où je sais que Philippe peut mater discrètement. Je chevauche la bite de mon amant. Philippe peut voir et cela m’excite à fond. Philippe m’a dit par la suite que c’est à ce moment-là qu’il a joui, sans même se toucher la queue. Et pendant ce temps, je me faisais baiser jusqu’aux trompes par cette brute ! Le pieu massif du mâle bute tout au fond de moi, abouté au col de l’utérus, je ne peux pas en absorber davantage et pourtant ma chatte ne touche pas son pubis. Je deviens folle, posant mes mains sur sa poitrine et me poignardant comme une morte de faim sur cette colonne de chair. Je me pince les tétons, jouissant une première fois, continuant à me ramoner le vagin avec sa superbe trique. J’ai un orgasme très violent, je ferme les yeux et jouis comme une malade, serrant les dents pour ne pas hurler. • Que t’es bonne, que t’es bonne ! Ne te retiens pas, vas-y ma belle, couine, gueule ton plaisir, que tout le camping sache que tu te fais sauter comme la putain que tu es ! • Oui, salaud, continues, tu me tues ! Comme j’aimerais que ça ne s’arrête jamais ! Ma chatte s’est tellement habituée à son gabarit qu'elle avale désormais sa belle queue épaisse quasiment jusqu’au bout. Ses magnifiques couilles n'ont pas encore craché leur jus. Il prend un sein dans chaque main pour les malaxer. Nous sommes restés comme cela durant un moment puis nous avons changé plusieurs fois de positions. J’étais comme possédée par cette baise. Mon instinct ne m’avait pas ...
    ... trompé, le type était un baiseur exceptionnel et particulièrement endurant. Il donnait tout ce qu’il avait, à tel point que j’étais secouée assez sauvagement à cause de la puissance de ses coups de bite. Mon visage, baigné de sueur, était marqué par le plaisir. Je ne me soucie plus de discrétion. Je m’enfiche qu’on sache ce que j’étais en train de faire, je me lâche complétement. Mes gémissements de plaisir deviennent des cris, et même des hurlements. Ca dure encore un bon moment, je l’emprisonne entre mes jambes en criant de bonheur. J’empoigne les fesses musclées du type qui, sans faiblir, me pilonne la chatte à grands coups. Soudain il se vide en moi, en renversant la tête vers l’arrière. J’étais aux anges, complètement rassasiée de sexe. Et je savais que mon chéri n’avait rien perdu de la scène. Philippe rentra dans la chambre… Je le regardais, pour le remercier de me permettre cela. Je me levais et vint me coller à lui tendrement. Il devait sentir ma chaleur, ma peau encore moite, l’odeur de la luxure sur moi. Il bandait comme un âne contre mon ventre. Je passais la main dans son short poisseux et lui fis profiter de mes talents de suceuse. En fermant les yeux, il se laissa aller et jouit dans ma bouche. ENCULEE DANS LES TOILETTES Le lendemain nous sommes partis tôt à la plage pour en profiter. Le type était arrivé et comme par hasard, il était installé tout près, en position pour bien me mater. Quand je me suis allongée, la pose prise ne laissa aucun doute sur la suite des ...