1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (47) : l’inconnu de la plage


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... vas me faire cocu et, si j’ai bien compris, tu vas baiser avec lui sans capote. Si tu me demandes mon consentement, tu sais bien que tu l’as, mon Olga. • Je sais que ça t’excite mon amour. Tu aimes que ta femme soit ainsi. C’était le signal que j’attendais. Je me suis donc levée pour aller me baigner seule. Le type se leva de sa serviette pour me suivre. Il nagea un peu puis, de façon prévisible, il m’aborda. Nous discutâmes un moment, je souriais, comme toujours assez à l’aise dans les contacts avec les gens. Pour un œil neutre, cela avait l’apparence d’une discussion banale entre vacanciers, sauf qu’à la fin, il me prit dans ses bras pour un long baiser langoureux. JE M’OFFRE A UN INCONNU Je sortis de l’eau. Je m’essuyais, enfilais ma robe, j’embrassais tendrement Philippe, avec insistance. • Je retourne à notre bungalow, il va me rejoindre pour me baiser. Tu peux rester sur la plage si tu en as envie. Mais tu peux aussi venir discrètement d’ici 15 minutes pour mater, mon petit cochon. Tu sais que j’adore quand tu mates ! Philippe attendit un instant et se glissa sans bruit entre la haie et la paroi en bois du bungalow. Il y avait un interstice qui lui permettait de ne rien perdre de ce spectacle qu’il affectionne tant. Nous avions immédiatement repéré cela et compris le profit que nous pourrions en tirer. Je n’avais pas perdu de temps en préliminaires. Il n’y avait rien de sentimental dans ce que nous allions faire, uniquement un mâle et une femelle qui avaient une folle ...
    ... envie de baiser. Avec Philippe, nous étions convenus que ces vacances étaient faites pour cela, pour compenser des mois de retenue et de frustration, qui sont difficiles à supporter aussi bien pour moi, l’épouse hypersexuelle, que pour mon mari candauliste. J’ose dire que pour moi c’est une vraie souffrance. Je vais passer maintenant au présent, car, en écrivant ces lignes, je revis ces moments de plaisir Nous sommes sur le lit, nus. L’homme est déjà sur moi, j’ondule sur sa queue en gémissant, complètement excitée. Il me presse vigoureusement les seins. J’accélère les mouvements de hanches. Je suis déjà en sueur, si désirable comme ça, moite et totalement offerte. Il me prend par la nuque pour me guider vers sa queue. Je le suce sans aucune retenue. Je veux autre chose et il le sait : je me couche ensuite en repliant les jambes, hyper ouverte. Je n’ai pas eu besoin de parler, c’est une invitation sans ambiguïté : à l’intensité de mon regard, l’homme comprend que je veux qu’il me baise. Il ne se fait pas prier, le salaud! En pesant de tout son poids, il s’enfonce d’une traite en moi. Il se met à me pilonner comme un âne, je suis en transe, avançant ma tête vers lui pour qu’il m’embrasse en me baisant. Le type sort sa langue aussi et nous nous embrassons de façon totalement obscène. Je m’offre totalement. Philippe ne fait aucun bruit, mais mon instinct ne peut me tromper : il est là, en train de nous mater. Cette certitude ne peut que décupler mon envie, je sais combien il aime ...