1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (47) : l’inconnu de la plage


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... événements. Les jambes légèrement repliées et assez ouvertes, je lui montrais ma chatte comme la dernière des salopes… Finalement, un peu plus tard, le type se lève et passe devant nous. Comme une petite garce docile, après un échange de regards complices avec Philippe, je me lève à mon tour, enfile ma petite robe et part dans la même direction. Philippe nous suit à distance, je marche en me tortillant. Mais au lieu de tourner vers notre bungalow, j’entre dans les sanitaires. Sans bruit, Philippe se glisse à l’intérieur, à côté de la cabine où je suis avec mon amant. Je parle à voix basse avec le type. Les cloisons sont fines et ouvertes en haut, je sais que cette fois Philippe ne verra rien mais entendra tout. • Alors petite salope, t’en veux encore ? Ma grosse queue t’a manqué pas vrai ? Les mains du type troussent ma robe. Je gémis déjà. • Hhmmm t’es toute trempée… Tu as pensé à moi je suis sûr quand ton mari t’a baisé hier soir • Oui • Il t’a baisé combien de temps avec sa p’tite queue ? 5 mn ? 2 mn ?! Tu m’étonnes que t’as le feu au cul. T’inquiètes pas va… Je vais te baiser comme tu le mérites, sale pute et tu vas t’en souvenir ! Je suis accroupie, la robe troussée et le cul à l’air, en train de pomper cet inconnu. • Vas-y suces là bien… régales toi chérie… Ouiii je sens ta gorge… Tu le veux dans le cul aujourd’hui c’est ça ? Oui ? Oui j’en suis sûr. Soudain, la cloison bouge, elle se met à bouger de plus en plus, je gémis. Je suis empalée sur lui, soulevée en l’air ...
    ... comme une petite poupée dans ses bras musclés. Il souffle comme une bête, on s’embrasse. • Baises moi ! Baises moi ! • Vas-y. Vires moi cette robe et penches toi, je vais te casser le cul, pétasse ! Il m’écarte largement le cul pour faire sortir mon œillet. Je me penche, lui présentant mes fesses. Le type ne perd pas beaucoup de temps à me préparer. Il utilise ma mouille et me doigte un bref instant. Il a compris que j’ai l’habitude de me faire enculée et que je n’ai pas peur des gros calibres. Son sexe, dur comme de la pierre, s’approche de mon anus. J’écarte bien mes deux fesses pour me préparer à l’intromission. Je halète, comme une femelle en chaleur. Il pose son gland à l’entrée de mon œillet et poussa. Le type souffle, je pousse un long râle. Il m’a enculé ! Son gland est comme aspiré et je me mets à gémir d’une manière dingue. A chaque coup de reins qu’il donne, je réponds en tendant mes fesses en arrière, jusqu’à ce qu’il soit enfoncé dans mes reins jusqu’à la garde. Parfois il ressort presque entièrement, puis sa hampe disparaît dans ma croupe. Il s’arrête et demande: • Tu aimes ça, on dirait? T’es bonne putain. Ce cul, ce cul ! • Oui, n’arrêtes-pas, s’il te plait ! Encore ! Je tremble, tentant de reprendre mon souffle. Je râle à nouveau, encore et encore. Je pousse des petits gémissements. Il me coupe le souffle en butant au maximum en moi. Ca va plus vite, les couilles du type claquent bruyamment contre ma chatte. Il accélère encore, je crie sans retenue ! Il commence ...