1. La pute et son bedeau


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... fuir cebouge d'enfer lieu de damnation. Il fit un petit salut de côté etdisparut. J'en fus à mon tour stupéfaite et en partie mortifiée. L'idéeme traversa qu'il ne reviendrait pas. Ce n'est pas ce que j’avaisescompté. De toute façon je n'allais pas courir après et le supplier derevenir. Ma leçon avait été rude. J'y étais allée sûrement trop fort.Tant pis j'en prenais mon parti. Advienne que pourra.Il se passât une vingtaine de jours sans nouvelles de mon petit curé. Jesus qu'avec mon amie ils avaient passés une semaine en Toscane. J’étaiscontente pour eux. Je m’étais consolé entre temps dans les bras denombre d'amants. Une frénésie de sexe m'emporta. J'en vins même troisnuits de suite à découcher et à sacrifier à des partouzes fourbies surle Net. Je concevais bien que c'était une façon de m'enivrer etd'oublier. J'avais un peu d'amertume que ma relation avec mon bedeau sefut interrompue de façon brusque et indélicate. Un goût d'inachevédemeurait. Le dépit me menaçait.Je ne fus pas peu heureuse un matin de découvrir un SMS de lui. Ilvoulait passer en vitesse pour me remettre en main propre un cadeauqu'il avait acheté pour moi. Je dus cacher ma grande joie de le revoir.Cette fois la jupe était modérément courte, les escarpins sobres et lemaquillage non moins. Je lui fis le sourire le plus gracieux. Nousdevions être comme deux bons amis nous retrouvant sans peine. Il étaitbronzé avec au front une mâle vigueur. Il avait changé. Était-ce à causede moi ? Je le vis timide et ...
    ... emprunté. Il se montrait coupable à monégard. Cela me toucha.Il m'offrit une reproduction de la tête de Méduse du Caravage. Nous enavions maintes fois parlé. Je lui apposais un baiser vigoureux sur sonfront. Je goûtais son cadeau plus que d’autres. Affectant un air tristej'ajoutais : « Est-ce un cadeau d'adieu ou bien je te reverrais ? « Ilbaissa les yeux répondant : « J'ai changé et ai bien réfléchi cesjours-ci. J'ai appris de vous. Si vous voulez de moi. Je repasseraistantôt. » Je ne pus réprimer un sourire de joie. Je lui balançais : « Leplus tôt sera le mieux. » Il revint deux jours après. Je ne fis point macoquette. Nous tâchions de nous ménager.Ce fut merveilleux que ce jeu d'évitement qui ne gagna qu'à augmenter etattiser notre désir. Je n’avais plus besoin de recourir aux mêmesruses : amants d'occasion ou vidéos salaces. Tout alla au plus simple.Une après-midi je vins le rejoindre sur le divan, lui prenant la main etl'embrassant sur la bouche. Il m’enlaça avec la dernière force. Nousroulâmes jusqu'au sol. Il ne fut pas le pataud des autres fois mon curé.J'avais tort. Il savait y faire. Mon amie l'avait sûrement déniaisé.Abandonnant mes préventions vulgaires, je me lâchais au sens noble. Nousfîmes l'amour plutôt que de baiser.Plus d'idée d'acrimonie ou de vengeance là-dedans. Je ne fus pas peuétonné de l'ardeur de ce jeune homme au lit. Comment faire le lien àprésent avec ce personnage et celui qui il y a peu m'ennuyait de sessermons et de sa littérature. Il y avait là-dedans ...
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