Madame... (3)
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
Divers,
... mes bras, l’une après l’autre. On me conduit dans une chambre. Je connais cette chambre. Je me précipite dans la salle de bain attenante. Vérifie la robinetterie de la baignoire, le réservoir d’eau du WC. Je me retourne face à la Comtesse, lui donne le nom de cette chambre, la mauve. La Comtesse me confirme le nom, elle ajoute que tout a été soigneusement changé, plus de tuyau de plomb, une pression diminuée, nouvelle robinetterie, etc. Puis elle me guide en bas. Nous traversons des salons, une bibliothèque, je ne reconnais rien. Dans le hall d’entrée, je descends, je sens la solution à mes problèmes de mémoire en bas. La chaufferie est neuve, la buanderie et la salle des supplices...je ne le trouve pas. Par contre, je comprends mon erreur, il y a cette vaste cave avec trois radiateurs battant neuf. Sur un mur, les traces de l’accident. Clélia m’a suivi, elle est près de moi, sa main sur mon épaule. « C’est ici que vous m’avez poussé, Monsieur Chris. Sans vous, je ne serais plus là auprès de vous. Je ne sais pas comment vous dire ma gratitude. » Son baiser fut le plus beau remerciement que je pouvais recevoir. En remontant, peut-être ai-je trop présumé de mes forces, j’ai la tête qui tourne. Clélia me soutient, m’assoit, caresse mon visage. Sa bouche se colle à la mienne, nous nous embrassons tendrement. Ce baiser me donne la force de la soulever et de la transporter en haut, dans le hall d’entrée. « C’est ici que vous avez perdu connaissance. Vous saigniez, vous m’avez ...
... portée et déposée sur les marches. Il y avait ce bout de métal planté dans votre poitrine, votre tête saignait. J’ai crié, hurlé et vous êtes tombé sans connaissance. » Je venais de refaire le parcours sans m’en rendre bien compte. Après un repas léger, je monte me coucher, dans la chambre mauve. Sur le lit, je tombe comme une pierre. À mon réveil, Carole et Clélia pousse un chariot avec un somptueux déjeuner. Je ne sais comment, mais je suis nu dans le lit, à peine recouvert d’un drap. Carole dépose ses lèvres sur mon front, sa main sur ma poitrine est douce. Elle me dit que la Comtesse a donné des instructions pour qu’on me choie durant ma convalescence. Alaine joint le geste à la parole. Elle remonte sa longue jupe, se place sur moi, caressant mon pénis avant de s’y empaler tout en douceur. Près de mon visage, Carole me demande si, un soir, elle pourrait venir. Ma bouche baise sa joue, je me souviens qu’elle m’avait dit avoir été durement violée par cette bande de jeune durant son adolescence. Sur moi, Alaine tend sa main à Agate. Les deux jeunes femmes s’embrassent amoureusement. « Mon ami, je vois avec plaisir que mes filles suivent mes instructions à la lettre. » Dit la Comtesse en arrivant. Je me sens terriblement gêné de la voir alors qu’Alaine est sur moi et que nous copulons. La Comtesse s’approche, je veux lui dire que... Elle pose son index sur ma bouche avant de m’embrasser avec beaucoup de tendresse. Elle se redresse, caresse chacune de ses filles et s’en va non sans ...