1. Madame... (3)


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Divers,

    ... m’adresser un joli clin d’œil coquin. Sur moi, Alaine gémit déjà, prémisse d’un orgasme à venir. C’est à peine si je peux retenir le mien, tellement elle étroite. Quand à Agate, elle est dans la salle de bain, remplissant la baignoire. Elle revient, entièrement nue. Elle me prend ma main, la pose sur son opulente poitrine. Certes, elle est grosse, lourde, avec de large auréole, mais elle est belle. J’attire ses seins sur ma bouche, les embrasse, les tète sans jamais perdre de vue ses yeux. De ma main libre, je masse ses grosses fesses. Je lui dis qu’elle possède un beau postérieur. Agate rougit, j’attire son visage, elle se laisse embrasser. Avec elle, je me montre particulièrement tendre en sachant ce qu’elle a subi. S’en est trop, je jouis sans ne plus pouvoir me retenir. Alaine jouit à son tour, se caressant sa poitrine, son petit bouton et sentant mon sperme la remplir. Alors, elle se retire et sa bouche se presse à laver mon sexe lentement. Elle embrasse Carole, partageant mes odeurs, mes aromes comme le dit si joliment Alaine. On me mène prendre mon bain. Si j’ai eu une vie avant, je ne veux plus y revenir, la nouvelle me plait. Carole pénètre dans l’eau, me guide, m’assoit et commence à me laver. Sa poitrine sur la mienne, c’est un délice. Je masse son corps. S’il est trop giron pour certain, il me convient parfaitement. Je masse son sexe, tout en douceur, aucune précipitation. Je la sais prête à être aimée. Je retarde ce moment, je la veux impatiente. Mes doigts ...
    ... commencent à la fouiller. Elle me fixe en se mordillant ses lèvres. Elle pose l’éponge, me couche dans le bain, pose ses pieds de chaque côté accroupie, elle guide mon pénis en elle. L’impatience venait de la gagner. « Vas-y en douceur. Ne brusque rien, là, comme ça. Tu es sublime. Tu n’es pas grosse, tu es juste imparfaitement parfaite et terriblement désirable. Oui, lentement, continue... » Je ne cesse de lui parler, de la mettre en confiance. Je sais que la Comtesse est là, près de la porte, qu’elle écoute. Carole se penche sur moi, elle se dit remplie de mon pénis. Elle ne bouge pas, profitant de ce doux instant. Nous nous embrassons. Puis, elle se soulève, redescend et recommence. Elle est plus étroite qu’Alaine. Et pourtant, je sens qu’avec Carole, je vais pouvoir me retenir, la faire jouir une, peut-être deux fois. Carole se masse sa poitrine, les tète tout en me fixant. Elle devient coquine, enjouée. Elle va prendre son pied. Ce que c’est bande de salaud lui avait volé, son plaisir d’aimer, de jouir. Si elle a joui un jour, ce n’est pas par un homme, mais une femme. Alaine nous rejoint, sa bouche se pose sur ce sein que tète Carole. Carole qui prend confiance en elle, me fait confiance désormais. Soudain son corps se raidit, ses mains prennent ma tête, elle m’embrasse et jouit divinement en se couchant sur moi. Mes mains sur sa croupe, je titille son anus, introduit mon majeur pour prolonger cet orgasme qui ne cesse de l’envahir. Alaine me surprend, posant sa bouche sur ...
«1234...7»