1. Madame... (3)


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Divers,

    ... cet anus, je sens sa langue vouloir que je retire mon doigt fouilleur. Carole ne se redresse pas. Elle veut jouir, son bassin s’active déjà. Je la serre contre moi, lui disant qu’elle n’a plus à avoir peur des hommes. npnwwsm Après un moment, Carole jouit encore et plus fort encore. Elle se retire, s’assoit un moment sur le rebord de la baignoire, histoire de récupérer. Sa main me branle doucement. Il faut que je jouisse, je ne vais plus avoir de force. La bouche de Carole vient rejoindre sa main et là, une démente s’est réveillée. Elle me suce avec une telle force que je voudrais retarder mon plaisir que cela m’est impossible. Je jouis, mon sperme remplit la bouche de Carole qui s’empresse de la partager avec Alaine. Puis, tout se calme, elles finissent de me laver. Je peux enfin déjeuner. De la journée, je ne quitte ma chambre que pour boire un thé avec la Comtesse. C’est Sybile qui assure le service. Comme les autres, elle porte cette tenue vieillotte de l’époque victorienne. Cependant, il n’y a que l’aspect qui la fait vieillotte et cela va avec les origines de Mademoiselle la Comtesse. Je me demande pourquoi, à presque trente ans, elle n’est pas mariée, c’est vrai, une femme comme...oh zut, non, je me trompe ou...elle préfère les femmes ? Pendant un moment, tout s’obscurci dans ma tête. Et puis, je raisonne en me disant que ce n’est pas possible, sinon je ne serais pas dans cette maison. Je ne porte, sur moi, qu’une robe de chambre. Ma salopette est morte dans ...
    ... l’accident. Mademoiselle se rend compte que je ne pas vivre en robe de chambre. Un coup de fil et voilà déjà que demain un couturière viendra prendre mes mesures. Soudain, Mademoiselle se montre plus entreprenante, comme si elle voulait me dire qu’elle adore les hommes. Non seulement elle les adore, mais je commence à croire que c’est même une croqueuse d’homme. Sa main agite mon pénis qui ne tarde pas à se dresser. Elle me plaque contre le dossier de ce canapé, s’assoit face à moi sur mes cuisses et s’embroche de mon pénis. Sa poitrine contre la mienne qui se frotte, la bouche de Mademoiselle qui force la mienne. C’est un viol pur et simple. Mais punaise, ce j’adore ce genre de viol. Mademoiselle se bascule en arrière, je peux maintenant masser sa belle poitrine, la malaxer à souhait. Mademoiselle donne tout ce qu’elle a et je fais de même, je me fous de ce qui peut m’arriver. Je baise l’une des plus belles femmes du monde et il me semble que je pète la forme. Mes mains sur cette poitrine, Mademoiselle me supplie d’y aller plus fort. Elle me rudoie verbalement, m’échauffe, m’agace, je me mets à gifler cette poitrine et cela la rend encore plus divine quand elle crie encore. Si je suis entouré de folles, elles sont merveilleuses, sublimes, délicieusement dévergondées. Peu m’importe ma vie antérieur, je ne veux plus vivre que cette vie à présent. Mademoiselle hurle et c’est un bonheur de la voir exulter de plaisir. Et quand elle atteint le septième ciel, c’est encore plus beau. C’est à ...
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