Madame... (3)
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
Divers,
... peine si j’arrive à jouir en elle quand elle se colle à moi, j’ai trop présumé de mes forces. Mademoiselle m’embrasse de partout, se retire de mon sexe, me soulève comme un fétu de paille et m’emporte au premier, dans sa chambre. Elle me couche, me borde et m’interdit de retourner dans ma chambre. Tout autour de ce lit, trois lits sont posé contre les murs. Je ne vais pas tarder à comprendre. Le lit de madame est vaste, large, long. Une démesure en comparaison d’un lit dit double. Celui-là doit bien faite quatre sur quatre avec un matelas d’une seule pièce, comme les draps qui le recouvrent. Mademoiselle tire sur un cordon. Peu après, quatre grâces arrivent, se dénudent et nous rejoignent dans ce lit immense. Je ne peux qu’user de mes mains, de ma bouche. Ces jeunes corps donnent tout leur amour à mademoiselle et elle, mademoiselle, qui me disait à l’hôpital qu’elle n’était pas cette dévergondée que j’imaginais dans mes délires pendant mon coma. Carole se retourne vers moi, douce comme le miel, elle se colle à moi, posant sa tête sur cette cicatrice, sur ma poitrine. Elle se confie, me remercie. Mademoiselle m’apprend que Carole désire que je lui retire son dernier pucelage, son cul. Je ne peux plus, mais je promets à cette gironde jeune femme de lui donner satisfaction dès que je pourrais avoir une érection. Je les regarde s’aimer, c’est juste fantastique ce que ces femmes font sous mes yeux. Je pousse Agate dans cette mêlée, elle est aimée comme les autres. Puis, mes ...
... paupières se font lourdes. Dans ce vaste lit, cinq femmes sont encore endormies, belles, sensuelles, divines. Carole est blottie contre moi, avec Sybile qui ouvre un œil. C’est elle qui m’a sauvé la vie, lentement, je la tourne, glisse entre ses cuisses. Je lape, lèche, bois cette jeune femme. Très vite, entre mes fesses, une bouche me lèche mon anus. Deux mains me le soulèvent et écartent davantage mon cul. C’est Carole. Sybile appuie sur ma tête, ma langue glisse sur son anus, revient sur son bouton, fouille sa chatte au passage et je recommence autant de fois qu’il faut pour lui donner un orgasme. Agate ne faiblit pas. Déjà, Mademoiselle la prépare, Sybile jouit, je me tourne vers Carole qui me présente son cul bien rond, bien gros. Je le lui fesse par deux fois, elle me sourit en tournant son visage vers moi. Mon sexe est dur, tendu quand lentement je pénètre ce cul bien lubrifié, bien dilaté. Mademoiselle m’embrasse. « Je crois que je vais t’enchainer à ce lit. » « Mademoiselle le peut. Si je pouvais, je resterai jusqu’à mon dernier souffle. » « Mais tu peux, mon mignon, tu peux. » On s’embrasse encore avant qu’elle ne se glisse sous Agate pour lécher son minou en chaleur. Carole qui m’encourage. Mes cuisses claquent contre ses fesses telle une méchante petite fessée. Mes couilles frappent la tête de Mademoiselle. Si je suis encore dans le coma, ne m’en sortez pas, surtout pas. Carole est au bord du plaisir, de l’orgasme, de la volupté et lâche un long râle animal. Je me ...