Diane et les douceurs automnales
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
forêt,
campagne,
fsoumise,
cérébral,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
init,
... aussi gentil et poli ! ", mon cerveau bout. Je pense alors : —Tu verras bientôt les nouvelles formes de politesse dont je suis capable, et j’espère bien te ployer avec délicatesse…— Vos jambes sont toujours aussi fines et belles, dis-je, osant pousser plus loin. Elle resserre ses genoux, emprisonnant un pan de sa large jupe de tweed. Son regard est dans le vague, tandis qu’elle se défend mollement. Je laisse le silence s’installer, tout en songeant : —J’ai trop envie d’elle, il me la faut, mais pour cela il est nécessaire d’avancer à petits pas et de lui donner la fièvre par petits frissons successifs. Puis, je la fais rire en affirmant : — Il vaut mieux énumérer vos défauts pour avoir la cote avec vous ! Elle me rassure en posant une main affectueuse sur ma cuisse et en expliquant : — Tu sais, je n’ai plus l’habitude des compliments, et les tiens sont très délicats… Elle s’abandonne et allonge les jambes, sa jupe moule ses cuisses et son ventre plat, je crois deviner sous l’étoffe le triangle pubien, je m’échauffe, même son torse plat me fait envie. Elle semble déguster l’instant comme elle dégusterait un chocolat fondant sur sa langue… Cette idée me fait travailler les testicules, je sens leur volume changer comme si ma sève en remplissait peu à peu l’intérieur, tandis que mon mandrin qui se dresse remplit tout l’espace de mon slip. La route défile, nous nous exclamons ou commentons de concert les changements intervenus dans les paysages et les villages. Et nous voici ...
... arrivés au bout du chemin, au milieu des bois. Ici niche une petite maison en bois, au cœur d’une clairière. Elle descend prestement de la voiture, sourit aux anges en humant à pleins poumons le parfum des sapins. Je remarque que les bouts de ses petits seins pointent, dans l’air vif qui nous accueille… Elle s’approche de moi, et dans un élan de joie, s’exclame : — Ah ! Il faut que je t’embrasse, on est tellement bien ici ! Elle me fait deux grosses bises sur les joues, tandis que j’ose un geste vers sa taille souple… Mais elle s’échappe, sans avoir rien senti. Son envie de courir dans les bois prédomine… Nous marchons en montant des cotes assez raides, au point de nous mettre les cèpes sous le nez quand nous en trouvons un. Nous nous éloignons un peu l’un de l’autre pour mieux explorer les recoins. En dépit de la brume du matin, mon corps est chaud. Le silence de la forêt, les odeurs qui montent du sol, m’enivrent. J’ai envie de la femme, de cette femme, innocente ou pas quant à mes intentions, impatiente ou totalement inabordable. De temps en temps, elle s’inquiète de ma présence et de mon succès dans la cueillette : — Tu es là ? Tu en trouves ? Je la laisse volontairement dans le silence. Elle insiste : — Viens me rejoindre, j’ai trouvé le filon ! J’accours alors, heureux d’être près d’elle, de partager sa trouvaille, de frôler ses doigts quand nous visons le même bolet… Son odeur me travaille le bas-ventre, je me laisse distancer de quelques mètres pour mieux caresser du ...