Diane et les douceurs automnales
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
forêt,
campagne,
fsoumise,
cérébral,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
init,
... un dosage subtil du rythme et de la pression sur son sexe. Je la sens se tendre peu à peu, elle confirme mon savoir faire en émettant de langoureux : — Ah ! C’est bon, oouuuiii, encooorreee. Puis ses onomatopées se bousculent. — Ah, ah, oui, oui, ah, Michel, ah c’est bon. Elle rugit tandis que son foutre accumulé pendant des années me gicle au visage en de longs jets chauds et odorants, tandis que son anus clignote sur mon médium. Je la bois avec jubilation tandis qu’elle pousse des cris gutturaux à chaque spasme qui tord son ventre de plaisirs presque douloureux par leur intensité. Elle reste un instant inerte. La chambre plonge peu à peu dans l’obscurité. Je rampe sur son corps et l’embrasse à pleine bouche, elle répond avec passion. Nos langues ne peuvent se quitter, je sens sur mon torse nu les pointes dressées de ses seins menus. Ses cuisses douces et tendres enlacent ma taille, tandis que ses mollets caressent mon dos. L’œil brillant, elle m’interroge : — Tu es bien ? Je fais oui de la tête, et brusquement elle pense à haute voix : — Je suis une vieille égoïste, je n’ai pensé qu’à moi. Elle me fait alors basculer sur le côté, m’embrasse la bouche, puis le torse, et mordille mes tétons. Puis, elle me regarde d’un air gêné : — Tu sais, je ne suis pas une experte, tu vas devoir me guider… Une chose est sûre, c’est que je veux que tu jouisses autant que j’ai joui. Je caresse ses petits seins et je demande qu’elle me suce. Dans le noir, je sens ses doigts fins et osseux ...
... qui cherchent ma braguette et qui bataillent pour l’ouvrir. Cette maladresse accroît mon désir, mon chibre fait une bosse énorme que Diane frotte à travers le tissu, tandis que l’autre main fait glisser enfin le zip. Maintenant que mon pantalon est ouvert, la bosse de mon slip ressort. Diane pose une main sur le tissu poisseux de sécrétions, puis elle dégrafe la ceinture du pantalon et commence à le baisser. Je l’aide en soulevant mes fesses, elle pose un instant la tête sur mon chibre encore emprisonné dans le slip. Je sens qu’elle observe et respire mon parfum de mâle, je perçois aussi une certaine hésitation, elle dit dans un souffle : — Il est gros. Je la rappelle doucement à ses promesses en gémissant presque : — Oh madame, sucez-moi, je veux sentir votre bouche engloutir ma queue… Elle joue le jeu de la mère protectrice en répondant d’une voix douce : — Oui mon petit, je vais le faire pour que tu sois bien, mais aussi parce que j’ai envie de découvrir cette caresse que je n’ai jamais faite… Je sens mon slip qui libère centimètre après centimètre mon mandrin, celui-ci se dressant peu à peu lorsque la pression du tissu diminue. L’étoffe posée maintenant sur mes couilles, je sens mon mât tendu vers le plafond. Une main légère en apprécie la taille en glissant le long de la hampe, puis devant mes yeux j’aperçois les cheveux de Diane, qui pendent et cachent son visage tandis qu’une douceur humide entoure mon gland. C’est l’extase, amplifiée par l’obscurité et le silence. Les ...