Diane et les douceurs automnales
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
forêt,
campagne,
fsoumise,
cérébral,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
init,
... lèvres de Diane s’entrouvrent progressivement sur la chair turgescente. Je ferme les yeux pour ne rien perdre de ce glissement suave. Diane suffoque, elle n’a pas su s’arrêter à temps et sa glotte regimbe. Je l’encourage : — Continuez, c’est trop bon… Ma voix est volontairement douce, comme un chuchotement d’enfant craignant d’être surpris. Alors, je sens les lèvres qui repartent vers le bout de ma bite, puis en direction de mes testicules qui, à l’instant, sont emprisonnés par une main fraîche. La bouche féminine, consciente des effets qu’elle procure, engouffre la hampe. Puis sa langue suit la marque de la circoncision, les lèvres traînent comme les ventouses d’une limace sur le gland. Je tends mon bas-ventre pour qu’elle engloutisse le pieu, et je sens alors qu’elle tente maladroitement de trouver mon anus avec un doigt. Le fait de me forcer ainsi semble l’exciter, et elle me pompe maintenant plus rapidement, serrant de temps en temps ma queue. Puis elle suce à nouveau d’une bouche baveuse mon chibre, et je sens l’explosion proche. Elle ne semble se douter de rien, elle est satisfaite de me faire geindre et implorer : — Oh oui, encore, encore, plus vite, plus vite. Un «Aaaaahhhhh » énorme sort de ma bouche au moment où la sienne reçoit une première giclée de foutre épais et âcre. Je l’entends qui s’étouffe, ma queue gicle à nouveau sur sa poitrine. Je veux que ce plaisir continue. Sa surprise passée, Diane répond à mes suppliques («Continuez, branlez, branlez, oui ...
... encore, encore, aaahh ») en astiquant de sa petite main fragile mon gros dard avec fébrilité. Puis, je sens qu’elle le reprend en bouche pour boire les dernières gouttes de sperme, fière d’elle. Insatiables, au chaud dans cette bicoque loin de tous les regards, nos corps s’enlacent, se cherchent, nos mains sont avides d’explorations, de touchers scabreux. La fièvre nous gagne à nouveau, je frotte mon sexe tendu entre ses petits seins puis sur son ventre. Je sens qu’elle aspire à se faire prendre, ma queue glisse maintenant entre ses cuisses ouvertes, et mon gland se pose sur les lèvres toujours baveuses. Diane me parle doucement à l’oreille : — Viens mon petit Michel, prends-moi profondément, fais-moi encore du bien. Et elle rajoute, vengeresse à l’égard de sa méchante fille et sans doute pour décupler mon plaisir : — Pense que tu baises la mère de ta copine de collège ! À ces mots, je sens mon chibre qui entre dans l’étui satiné de son vagin. Je me retiens, jouissant de chaque millimètre de cet intérieur humide et chaud. Quand j’atteins la matrice, je reste immobile un instant pour apprécier cette douceur incomparable. Diane pense sans doute à sa fille qui la harcèle, car brusquement elle vocifère : — Prends-moi comme une chienne mon petit, défonce-moi, fais-moi mal, baise-moi, oh oui baise-moi fort ! Je démarre lentement mon pilonnage comme le ferait une bielle de loco, puis le piston s’emballe, mes couilles frappent son cul, tandis que ses seins s’animent sous mes coups de ...