1. Grève


    Datte: 06/09/2018, Catégories: fh, inconnu, train, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, fdanus,

    ... semble apprécier. Pendant ce temps, il caresse mes fesses, les écarte, examine le tout très minutieusement, glisse une langue habile de ci de là, vient visiter mon troisième œil.« Décidément, il y tient à celui là ! » Il caresse aussi mon périnée ; ça m’électrise. Il écarte et referme ma fente de plus en plus rapidement, il presse mon pistil dans sa bouche, il enfonce son nez dans ma vulve et souffle un grand coup, me procurant des sensations étranges, faisant vibrer mon lippu dans un grandBlebleble qui nous fait marrer. Je suis son instrument de musique, sa flûte, son hautbois dont mes lèvres sont les anches. De mon côté je l’aspire, le caresse. Nous nous livrons à une course : qui fera craquer l’autre le premier. Je gagne à ce petit jeu : il libère dans ma bouche une belle portion de crème. Je craque quelques secondes plus tard. J’écrase mon bijou sur son visage. La bouche grande ouverte, je crie et laisse couler sa semence sur ses cuisses et sur les draps. Allongés l’un à côté de l’autre, il me serre contre lui et m’embrasse le front. — Nous sommes quand même de gros cochons ; nous allons devoir reprendre une douche. ________________________ Je ne possède pas grand-chose comme réserves de nourriture, et faire l’amour comme des sauvages, ça creuse. Aussi décidons-nous de commander des repas au restaurant thaï du coin ; il livre à domicile. Une chose que je découvre sur le caractère de mon médecin personnel, c’est son extrême coquinerie ; lorsque le livreur se ramène, il ...
    ... planque mes vêtements. — On a dit tout le monde à poil, alors on reste à poil, même pour le Thaïlandais.— Tu ne veux quand même pas que je reste nue devant le livreur !— Si, dit-il tout guilleret.— Enfoiré ! Tu me revaudras ça ! Ouvrir la porte, récupérer les plats, payer tout en essayant de rester derrière la dite porte n’est pas à la portée de tout le monde ; je n’échappe pas à la règle. Plus on essaie de se cacher, plus on en montre, loi de Murphy n° 3 bis. Le livreur me voit nue ; il me fait un grand sourire. Pendant ce temps, Romaric se bidonne. Ce salopard de livreur peut faire une croix sur son pourboire ; il s’est bien rincé l’œil ! Il vient même de reluquer mes fesses alors que je lui ferme la porte au nez. Je pose tout mon attirail sur la table et m’occupe du rastaquouère qui se marre devant moi ; j’avoue que la situation ne m’a pas laissée indifférente. Je le pousse vers le lit ; il s’y allonge volontiers. Je me positionne sur lui, mais au lieu de me planter sur son dard, je me masturbe avec. Je le fais glisser sur et entre mes lèvres, je m’en sers sur mon bouton que je frotte avec le gland. Il rougit, gémit, supplie, mais je n’ai aucune pitié. Je roule des hanches, je m’éclate, je me frotte, je coule sur ses valseuses que j’assaisonne copieusement, je me caresse, je feule, je ne cherche que mon plaisir que j’obtiens et je le laisse en plan, muni d’une belle érection ; qu’il se démerde ! J’attaque mon repas. Il vient me rejoindre et se marre. — Tu es redoutable !— Tu ...