Grève - Histoires de Sexe

Grève

... de mieux en mieux au plus profond de mes entrailles. — Oh, Docteur, j’ai les mêmes symptômes, ça recommence.— Je sais, je crois aussi que c’est contagieux, me dit-il, essoufflé. Cet animal m’enfonce son index dans l’anus. Je gémis, me presse contre lui. Mon clito se frotte contre ses poils, mon ventre se contracte autour de son engin. Je reste ainsi quelques secondes tétanisée entre ses bras. Je deviens toute molle, mes pieds touchent le sol de la douche ; heureusement qu’il me serre contre lui sinon je m’effondrerais par terre. — Il me semble que tout fonctionne à merveille, vous ne souffrez d’aucun problème.— Merci de me rassurer, Docteur. Combien vous dois-je pour cette consultation ?— Tout le plaisir était pour moi. Je dois toutefois vérifier quelque chose… Il me retourne ; j’ai les mains posées sur le mur. — Permettez que je procède à quelques examens complémentaires. Il me tripote les fesses, les écarte, vient caresser ma lucarne enchantée. — Non, pas par là. Un doigt, d’accord, mais pas plus.— Telle n’était pas mon intention sans votre accord.— Merci, Docteur. Sur ces fortes paroles il me pénètre de nouveau, par derrière cette fois, jusqu’à la garde. Ses mains prennent possession de mes petits nénés, les pressent, malaxent, tripotent les tétons ; il semble les apprécier malgré leur petite taille. — Juste une palpation des seins, pour le plaisir… me murmure-t-il à l’oreille qu’il mordille. Il me secoue, sort délicatement de mon ventre pour y revenir violemment ; son ...

... pubis claque contre mes fesses. Un doigt vient chercher mon petit bourgeon. — Autant tout vérifier, dit-il en le caressant. Il appuie sur mon mont de Vénus en même temps qu’il me pénètre ; c’est génial ! Je repars une nouvelle fois dans les vapes. Décidément, il me fait de l’effet, ce diable d’homme. Je le sens se libérer en moi. Il me presse contre lui et m’embrasse les épaules. Nous nous séchons l’un l’autre, heureux et repus. ________________________ — Je vais devoir rentrer chez moi, me dit-il tout de go. Allons, bon… Pour une fois que je trouve un mec bien de sa personne, intelligent, doué au pieu, faut qu’il se casse de suite. — Pourquoi donc ? dis-je, agressive. Monsieur a tiré son coup et il se fait la malle comme un vulgaire goujat ? J’en ai gros sur la patate. — C’est que je finissais une garde de trois jours, hier soir ; mes vêtements commencent à sentir le fauve.— Je peux te les laver, ils seront secs ce soir.— Ça va m’obliger à rester nu chez toi !— Effectivement, je ne sais si je dois ; je crains que vous n’essayiez de jouer au docteur avec moi.— Je veux bien que tu laves mes vêtements, à une seule condition : que tu restes nue aussi.— Adjugé, c’est vendu ! Que ne faut-il pas faire pour avoir une consultation gratuite… La lessive mise en route, nous cherchons à nous occuper. Je me retrouve bien vite sur lui ; je lui tète le gland, le prends entre mes lèvres, tente d’en avaler le plus possible ; je lui caresse les bibelots, je lui presse la base de son piton. Il ...