Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - WE à Deauville
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... Remettant un peu d’ordre dans nos vêtements, nous nous allongeons au soleil pour bien profiter de ce temps béni qui succède à une belle étreinte amoureuse. Bercés par le bruit des vagues et les chants (pas très mélodieux) des goélands et autres oiseaux de mer, nous savourons ces instants de bonheur. Je me plais à rêver. Et si cela n’était qu’un prélude à quelque chose de plus intense encore et non un intermède de deux personnes avides de sexe ? Non, ce n’est qu’une illusion et nous le savons ! C’est à la nuit tombante que nous regagnons notre hôtel. MOI : Comme nos vêtements sont quelque peu fripés et pleins de sable, nous passons rapidement sous la douche, qu’une fois encore, nous prenons ensemble. Quelle bonne idée tu as eue d’insister pour que je demande une chambre avec une telle salle de bains. Coquine, tu devais savoir que cela existait dans cet hôtel. Y serais-tu déjà venue ? Si oui, je n’en suis pas jaloux, je profite sans vergogne de ta connaissance de lieux et je t’en remercie. Nous n’avons pas envie de redescendre au restaurant. Alors, je commande un en-cas – huîtres, saumon fumé et vin d’Alsace (Gewurztraminer vendanges tardives), cela te conviens ? – en attendant, nous plaisantons tout en chahutant un peu ! Je te lutine, allant cueillir un téton dans le décolleté de ta robe légère, flattant ta croupe d’une main insistante descendant jusqu’entre tes fesses. Cela présage une nouvelle soirée bien chaude. Nous continuons notre repas ainsi, te donnant à manger des ...
... morceaux de saumon sur des petits blinis avec de la crème, bref, des jeux d’amants complices, amoureux ardents, qui profitent de la vie. Le vin, frais à point, nous a échauffé les esprits et les sens. Bientôt nous voilà de nouveau nus sur le grand lit. Tu es en pleine forme. L’air de la mer (et peut-être le vin) a rosi tes pommettes donnant encore plus de luminosité à tes yeux verts. Qu’ils sont beaux ainsi, ourlés de noir, ton visage encadré par tes longs cheveux blonds. Tu te fais chatte, venant te blottir contre moi, frottant lascivement ton corps contre le mien. Tu cherches à faire naître ma vigueur… difficile ce soir. J’ai déjà trop donné ? Non, je ne pense pas, mais un petit coup de fatigue m’empêche d’arriver à une bandaison satisfaisante. Qu’à cela ne tienne. Il y a d’autres moyens de te satisfaire. Je te demande si tu as tes jouets avec toi : - Oui, je ne voyage jamais sans. Tu sorts de ton sac de voyage deux beaux godes souples de belle taille, un mauve foncé et un translucide. Waaouuhhhh ! Génial, tout ce qu’il me faut ! Tu te mets sur le dos, écartant les jambes, offrant à ma vue ta vulve déjà suintante de mouille. Avec le gode translucide, je commence à agacer ton bouton d’amour, je le fais glisser entre tes lèvres roses, le fais pénétrer de quelques centimètres pour le ressortir aussitôt avant de l’enfoncer jusqu’à la garde. Quel spectacle plein de lubricité. Je te quitte quelques secondes, je cours à la salle de bains et je reviens avec une grande serviette que je ...