Héloïse, ou les chemins de traverse (2)
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
alliance,
amour,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fist,
double,
fdanus,
fsodo,
... savoir qu’il y aura un demain et qu’on aura toujours envie d’être là. C’est tout ça, l’amour, François. Pas une amourette qui pousse comme une herbe folle, vite éclose et coupée plus vite encore ! Tu ne m’aimes pas, François. Tu as juste envie de me baiser. Alors, vas-y : baise-moi, parce qu’après… il n’y aura pas d’après ! Viens. Fais-moi l’amour. Montre-moi, et surtout, montre-moi qui je suis vraiment. J’ai envie de savoir, moi aussi. François l’observait, silencieux. Était-il sincère ou faisait-il juste semblant ? Il avait un regard triste de chien battu – mais Héloïse connaissait son goût de la comédie. — De toute façon, ça lui passera, se dit-elle. François s’était allongé aux côtés d’Héloïse. Elle avait gardé les cuisses largement écartées et replié les bras, glissé les deux mains sous sa nuque – comme en un geste d’abandon. Ou un signe de confiance, c’est selon. François caressait les tétons déjà tout durs de la blonde. Il les faisait rouler entre le pouce et l’index, les pinçait durement, cherchait à les étirer. — Tu me fais mal, murmura-t-elle. Pourquoi cherches-tu à me faire mal ?— Je ne sais pas… c’est comme un besoin irrésistible. Un peu comme si ta douleur nous rapprochait encore, comme si inconsciemment elle te liait à moi. Mais je ne veux pas vraiment que tu souffres : la vraie souffrance, je me la réserve. Et c’est toi seule qui me l’offres et qui en es la cause. François s’était doucement laissé glisser le long d’Héloïse. Sa bouche était à présent à hauteur ...
... de son sexe. Il le lécha, écarta les lèvres humides, dégagea le clitoris gonflé. Il le titilla du bout de la langue, le mordilla entre les dents puis l’aspira goulûment. Héloïse avait saisi des deux mains la tête de son jeune amant, la maintenait contre sa chatte. Son ventre se soulevait, cherchant à amplifier la divine caresse. Elle jouit alors, bruyamment, laissa son plaisir s’écouler dans la bouche de François. Celui-ci n’avait pas bougé. C’est elle qui, après un moment, l’attira sur son corps. — C’était… bon, tu sais. Tu m’as merveilleusement fait jouir. Et toi ?— Pour moi aussi, c’était bon. Mais maintenant, je vais te baiser. Vraiment. Et je te l’ai dit : tu vas aimer ça. François s’était agenouillé entre les cuisses d’Héloïse. Sa verge n’eut aucun mal à trouver l’ouverture déjà béante. — Viens vers moi, dit-il à la jeune femme. Soulève-toi et mets tes cuisses sur mes épaules. Ainsi installée, elle sentait la queue de François s’enfoncer très loin en elle. Elle avait l’impression de n’avoir jamais été aussi profondément investie. Son amant la pénétra longtemps, sans hâte, puis plus fort, et plus fort encore. La sueur ruisselait sur leurs deux corps. — Prends ton plaisir et offre-le-moi, lui dit-il. Sans interrompre ses va-et-vient, il se pencha en avant, chercha la bouche d’Héloïse. Elle détourna la tête : — Je… je n’ai encore embrassé personne… depuis Antoine, confessa-t-elle. François lui prit la tête entre les mains, la tourna vers lui : — Viens, dit-il simplement. ...