1. Héloïse, ou les chemins de traverse (2)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: fh, fhh, alliance, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fist, double, fdanus, fsodo,

    ... fois ! S’il te plaît, Hélo, laisse-moi te regarder. J’en ai tellement envie…— Mais pas moi ! Tu crois que je fais ça tous les matins et qu’Antoine en redemande ?— Justement ! Tu es belle, Hélo, tu es sexy. Je suis sûr que tu peux aller bien au-delà de ce que tu vis au jour le jour avec ton petit mari chéri. Si tu veux bien, je te ferai dépasser toutes tes limites. Et tu aimeras ça…— T’es un obsédé, non ?— Toi seule m’obsèdes, Hélo. Mais tu ne le sais pas. Ou pas encore. Allez, s’il te plaît, ouvre-moi tes jambes et montre-moi. Héloïse poussa un soupir qui se voulait excédé, regarda fixement François, puis lentement écarta les cuisses. Les yeux du garçon ne quittaient pas le sexe de la belle. Ce furent d’abord quelques gouttes qui, quasi furtivement, coulèrent le long des lèvres roses. Puis un long filet s’échappa, éclaboussant la cuvette blanche. François avait tendu la main, allant recueillir le liquide doré à la sortie du sexe d’Héloïse. Quand elle eut terminé, celle-ci tenta de refermer les jambes mais François l’en empêcha. Il porta ses doigts humides et chauds à la bouche de la jeune femme, voulut les introduire dans sa bouche. Elle eut un mouvement de recul, détourna violemment la tête. François n’insista pas : sous le regard horrifié d’Héloïse, il lécha consciencieusement ses propres doigts. — T’es vraiment malade, tu sais, murmura-t-elle. Et en plus, ça te fait bander ! Elle voulut tendre la main vers le papier de toilette, mais François arrêta son geste : — Ne ...
    ... t’essuie pas : je te veux nature. Héloïse se leva alors précipitamment et, en courant, regagna le lit conjugal et se réfugia sous la couette. François la rejoignit. Il tira brusquement sur la couette, dévoilant entièrement le corps de sa belle-sœur. — Je t’ai déjà vue nue, sourit-il. Inutile de te cacher ! Héloïse avait croisé les bras sur ses seins, les soustrayant au regard de son beau-frère. Mais il la saisit par les chevilles, lui écarta les jambes, s’agenouilla entre elles. — T’es vraiment belle, Hélo. Je sais, ça fait vraiment cliché de te dire ça, mais c’est la vérité. Voir ta chatte entrouverte est un réel émerveillement. Depuis que je te connais, j’ai toujours eu une envie folle de te toucher, de t’embrasser, de te baiser… C’est pas avec moi que tu es mariée, mais je crois bien que je suis dingue de toi ! Héloïse sourit, dévoila ses seins : — Bah, c’est ce que tu crois. Bien sûr, c’est flatteur pour une femme d’entendre ces mots-là, mais je suis sûre que tu te trompes sur tes sentiments. Je te plais, aucun doute là-dessus, mais tu confonds amour et désir. Et ce n’est pas le désir qui fait la trame du bonheur, tu sais. Il faut bien davantage pour savoir qu’on aime vraiment. Elle lui caressa doucement la main, ajouta : — L’amour, c’est être capable de s’émouvoir d’une goutte de pluie sur un visage, c’est s’inquiéter d’un simple froncement de sourcils, c’est un mélange de légèreté, de mélancolie, de désespoir, de rêves inaccomplis, peut-être même de désirs inassouvis. C’est ...
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