1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,

    ... peu trop sexy pour venir au bureau mais vraiment magnifique. À moi-même : « Trop con, tu es trop con ! Tu l’as mise encore plus mal à l’aise, tu es vraiment con. Tu n’as qu’à lui demander d’enlever sa veste et de faire sauter quelques boutons supplémentaires tant que tu y es. Il faut être con pour dire à la fille du chef que tu la trouves sexy ». — Excuse-moi d’être aussi nul.— (silence)— J’espère que tu ne vas pas…— Non, non ne t’inquiète pas.— Euh, bien. Je regrette mes paroles.— Non, ce n’est rien, c’est que je n’ai pas l’habitude des compliments, c’est tout. À mon tour d’être silencieux, d’ailleurs le bureau n’est envahi que par le ronronnement des unités centrales. Les bureaux du couloir le sont tout autant puisque c’est la première semaine des vacances de Pâques, la plupart des employés sont chez eux. Je suis tourneboulé par ses dires, son regard noisette m’a traversé un dixième de seconde et l’iris brillant s’est gravé en moi. — J’ai un peu chaud avec la veste, je peux l’enlever ? Je ne la remettrai que pour sortir du bureau, tu es d’accord ?— … Que répondre à cette candide créature qui me tutoie pour la première fois ? Mon approbation fait remonter ma tension à la nouvelle vue de sa fière poitrine. Caleçon étroit, tempes bouillonnantes et cœur affolé sont quelques exemples de tous les maux qui m’assaillent en moins d’une minute. Je devine un rictus quelque peu canaille de la part de ma jeune voisine, mais je ne peux savoir si cela concerne son exhibition mammaire. « ...
    ... Cela ne peut être que ça, la coquine t’aguiche comme jamais, tu as perdu l’habitude des jeux de séduction ». Voilà que la petite voix revient à l’attaque et elle est beaucoup plus directe qu’auparavant. Je tente le tout pour le tout, quitte à passer pour l’idiot de la boîte autant y aller à fond. — Cela te plaît de me mettre mal à l’aise ?— (sourire) Assez… Eh bien, je ne m’attendais pas à une réponse aussi directe et surtout aussi rapide. Julie a pris une assurance que je ne lui connaissais pas. Depuis la vision troublante je suis à sa merci, il faut que je reprenne le dessus. — Il fait plus chaud que tout à l’heure, tu ne trouves pas ?— Oui, c’est vrai, répond son visage empourpré.— Tu peux desserrer quelques boutons si tu veux, demandé-je innocemment sans me douter que sa réponse fuserait si vite…— Je ne voudrais pas que tu fasses une attaque. La petite se joue de moi, je ne contrôle plus, son sourire ne fait que confirmer l’emprise qu’elle a sur moi. Jamais une femme ne m’avait fait marcher sur la tête comme aujourd’hui. — Ce serait moins risqué si tu fermais la porte. Elle dit cela sans élever la voix, tout doucement, simplement. Je m’exécute, j’appuie sur la poignée pour verrouiller le pêne. Ma main est toujours sur la barre et je mate la fille de mon supérieur défaire un à un tous les boutons. Elle regarde ses doigts jouer avec la boutonnière et écarte les pans de tissu pour que je puisse avoir une vision panoramique. Sans même me jeter un coup d’œil elle se remet au ...
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