Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... travail. Comme lors de ma première vision, la lingerie est totalement opaque, sauf qu’aujourd’hui elle est immaculée. Je retourne m’asseoir sans la quitter des yeux, je devine le renflement de ses tétons, elle est absolument divine. J’essaie de me concentrer sur mon écran, je lis en diagonale les messages sur ma boîte mail pour m’apercevoir que Julie m’a envoyé quelque chose. Il n’y a pas d’objet, juste un simple texte technique d’une banalité affligeante comme nous nous en envoyons régulièrement : — « Salut, Suite à notre discussion sur le projet X28. Est-ce que je peux sortir toutes les pièces de leur enveloppe tungstène et les mettre à disposition dès maintenant sur le barillet ? Est-il nécessaire de garder l’emballage constructeur sur les jambes de force ? Merci de tes réponses » Elle me propose ni plus ni moins de se dévêtir dans le bureau, je pense rêver. Je reste de longues minutes à relire les deux questions, sans avoir aucun doute sur le véritable sujet de ses demandes. Je sais que je vais répondre affirmativement même si cela me coûte mon poste et ma vie de couple. Je me dresse à nouveau et verrouille la porte. — Je pense que tu as assez de connaissances sur le projet pour prendre les décisions qui s’imposent, m’entends-je dire.— Tu me diras si je fais des bêtises, dit-elle d’une petite voix candide pendant que ses mains farfouillent sous la table pour quitter chaussettes et chaussures. J’espère que personne ne viendra, ajoute-t-elle soudainement effrayée.— Ici, ...
... quand les portes sont fermées à clef, personne n’est dérangé, c’est une habitude prise pour terminer tranquillement les notes techniques. D’ailleurs le téléphone est aussi décroché dans ces cas-là, dis-je en posant le combiné sur le bureau. Tout en restant assise elle fait glisser le futal le long de ses fines jambes. Elle se tortille pour faire passer son popotin puis d’un balancement du pied jette le vêtement de côté. Pas de geste suave ou sexy, le polo passe par-dessus sa tête et rejoint le sol. Elle ne me regarde toujours pas, mais en passant ses doigts derrière le dos, elle murmure : — Maintenant, l’enveloppe de tungstène. La tête rivée sur l’écran, elle libère les mamelles qui restent en position malgré un léger affaissement. La nature l’a bien pourvue, je n’avais jamais vu une poitrine qui se joue ainsi de l’apesanteur. Julie, imperturbable, pianote sur le clavier ne s’arrêtant que pour jouer avec la souris. — Si tu veux que je retire ma culotte, tu n’as qu’à le demander, dit-elle d’une voix sûre, mais sans me regarder, d’ailleurs je ne demande qu’à obéir à toutes tes demandes. Je ne sais pas si j’aurai le courage de te le dire à nouveau, je suis disposée à effectuer tout, vraiment tout ce que tu désires.— Tu es très surprenante…— N’hésite pas, je me confie à ton bon vouloir, me coupe-t-elle. Je regarde la demoiselle appliquée à saisir ses résultats et calculs quand je me sens d’un coup glisser de ma chaise à roulettes. J’essaie de me ressaisir et me lève en sursaut sous ...