1. Telle paire... tel fils. (2)


    Datte: 10/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Elle allait refermer la porte quand un énorme chat lui fila entre les jambes pour dévaler dans l’escalier. Il était roux, du même roux qu’elle, à tel point qu’on aurait pu croire que c’était sa perruque qui se barrait. Sans réfléchir, elle ouvrit la porte et se rua sur le palier pour rattraper l’animal. Elle était effectivement entièrement nue. Elle se lamentait presque hystérique : "ma chatte, ma chatte, ils ont laissé partir ma chatte... elle est malade, il ne faut pas qu’elle sorte"! Mon père prit la situation en main et m’ordonna malicieusement : — Jules, occupe-toi de la chatte de ta professeur ! M’occuper de la chatte de ma professeur... je ne rêvais que de ça ! Je courus après la chatte plein de la vision de ma prof, mon ex-prof plutôt, nue. En dégringolant dans les étages je ne pensai que chatte. Celle que je poursuivais de mes jambes et celle que je poursuivais de mon désir, la merveille entrevue dans le bas-ventre de la dame. En m’élançant à la poursuite de l’une et en pensant fort à l’autre, j’entendis mon père dire : — Allons Madame, rentrez. Vous ne pouvez pas rester ainsi sur le palier. On pourrait nous voir. Fort heureusement, la chatte (je parle du félin) était corpulente et je ne tardai pas à la rattraper malgré ses astuces pour m’échapper dans le parc, en se planquant sous les voitures, dans les fourrés ou en essayant de grimper aux arbres. C’est lors d’une de ces tentatives infructueuses que je pus enfin la capturer et rentrer au logis, après une dizaine ...
    ... de minutes de chasse cependant. Il était temps que cela s’arrête. Plus et on aurait sombré dans le ridicule. Lorsque je parvins avec mon précieux trophée devant la porte de ma prof, je la trouvais très légèrement entrebâillée. Je poussais donc. La vision me rassura pleinement sur les avancées de la discussion entre mon père et Madame Légoustane-coronesse. Je fermai soigneusement la porte d’entrée derrière moi, sans tourner la clef cependant et j’ouvris la première porte à droite pour me débarrasser du matou, puis je me concentrai pleinement sur ce qui se passait et qui n’était point dépourvu d’intérêt. J’ignore ce que mon père avait pu dire ou faire pendant dix minutes, mais il n’avait pas perdu de temps. Simplement, ma prof, avait juste passé une culotte de dentelle blanche mais elle n’avait sans doute pas pu se vêtir davantage. Mon père avait pris l’initiative avant qu’elle pût ériger un rempart plus conséquent contre ses prétentions. La femme était appuyée contre le mur. Il était face à elle, légèrement décalé, pas complètement collé, la frôlant plutôt. Il avait son froc sur les chevilles. Sa grosse queue pointait vers le ciel en touchant le ventre de la fille. De sa main droite, il jouait avec le sein gauche, qu’il triturait, malaxait, pétrissait... il pinçait le gros tétons rose qui dardait fièrement, le tortillait un peu, sans violence et, de l’autre main, il fourrageait avec énergie dans la culotte. La position de la main et ses mouvements montraient sans ambiguïté ...
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