1. Telle paire... tel fils. (2)


    Datte: 10/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... aucune qu’un doigt ou deux étaient enfoncés dans le vagin. La fille gémissait lentement en acquiesçant à voix basse aux remarques que mon père formulait sur le même ton. — T’aime ça petite salope ! T’aime mes doigts dans ta chatte. T’aime qu’on de caresse cochonne ? C’est pour ça que tu t’exhibes, hein, t’en veux de la queue toi ? hein, hein, t’as envie de queue ? Aller, sois gentille, dis-le ! Et elle répondait sans cesse des petits "Oui" tout en haletant timidement entre chaque approbation. Il me semblait qu’elle avait les yeux fermés, mais, à la façon dont mon père la fixait tout en la pelotant, elle pouvait aussi les avoir mi-clos. Je restai deux à trois minutes à contempler cette scène; mon père, mâle magnifique, musclé, grand mature, à la queue dressée, aux couilles poilues et bien pleines et la fille, jeune, à la chair ronde un peu comme les femmes des tableaux de Rubens (ben oui, on peut ne pas être le premier de la classe et connaître un peu la peinture du XVII°), au seins lourds et bien bombés, à la peau blanche et les auréoles et tétons roses, à la toison aussi bien entretenue que si elle avait été taillée par un jardinier de Versailles... c’était bandant évidemment. Ma main flattait ma queue tendue à mort. Je décidai de me mettre à l’aise et ôtai tous mes vêtements. Mon père, détachant un cours instant sa main droite de l’opulente mamelle, me fit signe d’approcher. C’était une invitation qu’on ne pouvait refuser, néanmoins je le fis avec précautions craignant ...
    ... la réaction de celle à qui je devais mon "exclusion" du lycée et que je redoutai encore un peu quand même. Effectivement, ses paupières étaient entre-ouvertes et elle me regarda mais sans volonté, sans réagir, complètement hypnotisée par les soins que mon père lui prodiguaient. Enfin proche d’elle, je dirigeai ma bouche avide vers le téton pour le sucer à fond Mon père retira ses doigts de la chatte pour me les mettre sous le nez et me les faire sentir. — Tu sens ça fiston ? C’est bon hein? T’as vu comme elle est déjà chaude et humide. C’est dingue ! J’acquiesçai. Nous restâmes ainsi en long moment, dans la même attitude, moi toujours à bouffer le nichon en flattant la croupe dodue de ma main droite, et plongeant à mon tour mes doigts dans le trou tout humide, quand mon père me le permettait. Puis mon père me dit : — Vas-y là, grimpe-là ! — Comme ça, debout ? — Oui, elle te doit bien ça ! Il s’écarta un peu pour que je me présente face à elle. Elle murmura : — Vous avez des capotes ? — T’inquiète pas ma belle, on est clean tous les deux, j’y veille. Dis papa. — Moi aussi mais en ce moment, je prends pas la pilule ! — Pas de souci, on va pas te remplir la citerne. Y’a assez de place sur tes nichons pour recevoir le jus d’un régiment. Et ta bouche... t’as une bouche à aimer le sperme. Elle ne répondit pas. J’essayai d’enfiler ma bite mais elle était trop grosse pour me permettre de bien la plaquer et il aurait fallu qu’elle ouvrît les cuisses plus grand pour que je pusse la ...