1. Telle paire... tel fils. (2)


    Datte: 10/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Moi, pendant ce temps, je me prendrais bien une petite branlette espagnole. — Ah, cool... tu seras mieux si je m’allonge. Notre dialogue valait consignes et la fille fit les mouvements qui convenaient à nos projets comme un automate. Je m’allongeai donc et elle vint poser sa grosse vulve sur ma bouche. Elle ruisselait de cyprine. J’y poussai ma langue aussi loin que je pus. Son corps ondulait, à la fois pour positionner sa moule là où elle ressentait le plus de plaisir mais aussi pour satisfaire la bite de mon père qui se tenait debout devant elle. Mais je devinai vite qu’elle cherchait par ses balancements à se coller à mon menton où poussait alors une barbe rêche de deux ou trois jours et, manifestement, elle goûtait le picotement des poils sur sa chair en feu. Mes mains enserraient ses fesses, s’y cramponnaient, y plongeaient de sorte que, si j’avais eu des griffes, je l’aurai lacérée. Elle accéléra ses déhanchements et se mit à crier par à-coups : "oh oui... oh oui... Oh oui..." ! et je fus soudain inondé à tel point que je crus qu’elle avait pissé. Mais non, elle venait juste de jouir et sans être tout à fait une femme fontaine, elle se rapprochait cependant de ce que j’avais pu en voir dans des films porno. — J’ai envie de la prendre en double... — Oh oui, bonne idée p’pa. On n’a jamais fait ça. — Toi peut-être mais moi, avec Mathieu, j’ai déjà pratiqué... — Vous m’aviez caché ça ! — Mais on ne vous dit pas tout ! En tout cas, si moi je ne l’avais jamais fait, elle, ...
    ... elle pratiquait sûrement déjà car, toujours sans rien dire, elle se releva, nous empoigna chacun par le chibre et nous traina vers sa piaule. Ce ne fut pas long. Papa s’allongea sur le lit et elle s’agenouilla face à lui pour enfoncer le pieu dans sa chatte. Il y disparut comme la poupe d’un navire lors d’un naufrage, ne laissant que les gros testicules comme témoins de la présence d’un homme en cet endroit. Elle se pencha en avant. Je glissai mon gland contre les couilles paternelles pour trouver l’entrée. — Dans le cul ! Mets-la-moi dans le cul. Elle parlait peu quand on la baisait mais force est de constater que, lorsqu’elle le faisait, ce n’était pas pour ne rien dire. J’appréciai sa concision et sa lucidité, en tout cas mieux qu’en cours. Je répondis : — Gel ? — Pas besoin. Déchire-moi le cul bâtard ! Elle s’enhardissait. Vraiment, elle gagnait à être connue. De mes mains, j’écartai donc les grosses fesses pour découvrir une rosette toute lisse, luisante, qui présentait, comme les ornières d’un chemin après la pluie, les traces de nombreux passages. Elle était toute dilatée. J’y enfonçai mon dard sans rencontrer de résistance, comme à l’exercice. Je n’étais pas un grand habitué de la sodomie, ayant malheureusement rencontré peu de nanas qui voulussent bien s’y prêter. Néanmoins, je fus surpris de l’humidité. Le trou me parut plein de liquide. Je savais qu’on pouvait mouiller du cul; mais à ce point-là ! Aussi en fis-je tout haut la remarque : phxpttea — Putain ! Qu’est-ce ...