1. Telle paire... tel fils. (2)


    Datte: 10/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pénétrer, au lieu de quoi, ma verge se fraya juste un passage dans les chairs et vint chatouiller de son extrémité le clitoris dodu qui fendait les épaisses boursouflures des lèvres. — J’y arrive pas ! — Allonge-là ! Nous la prîmes chacun par une main pour la diriger vers le canapé. Elle se laissa faire sans résistance. Dès qu’elle y fut installée, elle écarta les cuisses. Ses cours de SVT me revinrent et je ne pus m’empêcher de penser qu’elle agissait en réflexe pavlovien. Je m’allongeai sur elle et la pénétrai lentement. Elle n’eut qu’un gémissement et un sourire de contentement. Je commençai un lent va-et-vient super bon. Mon père s’approcha et tapota sa bite contre la joue droite. — Suce-moi ! Elle se tourna vers lui et ouvrit la bouche pour pomper le dard paternel. Ah putain qu’elle est bonne. T’es une bonne suceuse toi ! Hmmm tu sais t’occuper d’une bite. Vas-y, bourre la à fond, plus vite, fais la chanter. Bouge-lui le corps. J’veux voir ses gros nichons danser sous tes bons coups de bite ! Allons, du nerf. Je t’ai mieux élevé que ça bordel ! Fais pas ton timide ! Je me dressai donc sur mes bras qui s’enfoncèrent dans les coussins, me donnant une posture aussi inconfortable qu’instable. Comme je ne donnais pas toute la mesure de mes moyens mon père reprit les choses en main. — Donne ta place. Je m’exécutai donc et mon père au lieu de la prendre en missionnaire, par des gestes assurés lui fit comprendre qu’il attendait autre chose. Elle se retourna, se mit à genoux et ...
    ... présenta son cul. Sans hésitation mon père planta sa bite dans le trou et, se cramponnant fermement aux hanches, il se mit à la déchirer. Ma pine tendue, je me ruai sur la bouche avide. C’est vrai qu’elle suçait bien ! Très bien même. Il était évident que la garce, non seulement n’en était pas à son coup d’essai, mais qu’elle aimait la queue. Cela me changeait de toute les petites pucelles ou les jeunes salopes sans habitude qui, à force de vous sucer en y mettant les dents, vous font presque une circoncision. Non, là c’était du grand art. Ma queue était en fête. De son côté mon père exultait ! — Ah, putain, elle est bonne, ça c’est de la chatte! Et puis tu bouges bien! Sans dec, pour savoir aussi bien y faire, t’as été pute dans une vie antérieure. Bordel de putain de bordel à queue, ça c’est du cul ! Y’a un bail que j’ai pas tiré un coup pareil ! Je savourai la pipe profonde qu’elle me faisait en un état demi-extatique mais je ne négligeais pas pour autant mes devoirs. Mes grandes mains palpaient les mamelles pendantes et pinçaient les tétons. J’appréciais le contact de cette masse lourde dans mes paumes. Complétement désinhibée, ma prof se donnait sans calculer. Ses coups de langue, la succion de ses lèvres, ses habiles mouvements de tête pour changer l’angle de suce, sa dextérité à s’immiscer entre le prépuce et le gland, tout concourrait à une éjaculation rapide. Il fallait que je me reprenne. — Papa, viens à ma place, j’ai envie de lui bouffer le cul. — Bonne idée fils. ...