Pour le pire ou le meilleur
Datte: 15/09/2018,
Catégories:
f,
caférestau,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
nopéné,
... quelque origine qu’il soit. Un homme qu’elle appréciait depuis toujours pour sa profonde humanité et sa sensibilité. Un homme qu’elle trouvait maintenant beau, troublant, émouvant par sa manière maladroite de s’offrir à elle, fut-ce avec la complicité d’une machine à plaisir. D’une certaine manière, c’était comme s’il partageait avec elle ce qu’il avait de tout temps désiré vivre entre ses bras. Il y aurait eu cent autres manières de le faire. Elle décida de respecter son choix. Afin de mieux en rire avec lui, lorsque tout serait terminé. Elle but son verre de champagne tout en dévisageant Justin. Elle eut alors tout loisir de constater la redoutable efficacité de la machine. Des mouvements involontaires de ses hanches et sa respiration accélérée trahissaient le plaisir croissant qu’il éprouvait déjà. Après un nouveau verre, elle ne résista pas à l’envie de s’immiscer dans son délire érotique. — Raconte-moi, s’il te plaît, ne me laisse pas seule !— Si tu n’étais pas là, ce serait juste pathétique. Serre fort ma main, que je ne perde pas complètement le sens de la réalité.— Si tu savais comme j’aimerais être sous cette table. Pouvoir toucher ton sexe, sentir la douceur de ta peau, respirer l’odeur de ton excitation.— J’aurais trop peur de t’imposer des trucs trop égoïstes.— N’essaie pas de me faire croire qu’elle te suce aussi bien que je ne le ferais !— C’est une sensation indescriptible. Elle me masse de haut en bas, lentement, et en même temps elle m’effleure à une ...
... vitesse folle tout autour de la pointe, gémit-il déjà envoûté par l’intensité du plaisir que lui donnait l’humanoïde.— Mais tes couilles, elle n’arrive quand même pas à s’en occuper comme une femme en chair et en os. Où est le vrai plaisir ?— C’est pire. Elle envoie régulièrement une intense vibration entre mes cuisses, qui rend mes boules presque insensibles. Cette saloperie de machine fait monter des lancées irrésistibles dans mon bas-ventre. Je ne maîtrise plus rien depuis que j’ai plongé en elle.— En tout cas moi, si tu me laissais faire, j’aurais mes mains sur tes fesses et je ne te lâcherais pas de si tôt. Tu sens ce que je veux dire ?— Ah oui, avance encore un peu tes doigts, c’est bon !— Enfin monsieur prend goût à mes caresses ! Profite, viens jusqu’au fond de ma gorge !— Je bande trop fort, je vais t’étouffer. Ah putain, à chaque mouvement de mes reins, le robot m’aspire irrésistiblement vers l’origine des pulsations. Trop intense, je ne vais pas pouvoir résister longtemps.— Essaie quand même, laisse-moi te prendre en moi. Je veux te sentir frémir, vibrer, chercher égoïstement la meilleure manière de te vider dans ma bouche.— Non, au contraire, si tu veux m’exciter, repousse-moi, résiste, empêche-moi de te pénétrer !— Je veux tout accepter de toi ! Fais-moi subir ce qui t’excite, lâche-toi en moi. Je reprendrai mon souffle quand tu te seras vidé.— Un truc dément monte et descend le long de ma bite, pendant que le fond du manchon me pompe à la limite de la douleur. C’est ...