Je peux vous donner une photo ?
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
... plus jeune que Bernard, et son père, Louis, de cinq ans plus âgé. Et bien sûr ses frères et sœurs. Elle est l’aînée. Ses parents ont mis cinq ans avant de se décider à avoir un nouvel enfant ; la suivante est Jade, qui a passé le cap des 18 ans. Mais après, ce fut d’une régularité d’horloge suisse que les bébés arrivèrent tous les deux ans. Viennent donc ensuite Judith, Joëlle, Jasmine et Jeanne, qui clôt la période filles. Julien, 7 ans, est le premier des garçons, suivi de Jérémie, Jérôme et Jonathan. Et sa mère a la chance de garder malgré ses grossesses une ligne de jeune fille, sauf actuellement où une nouvelle grossesse arrondit sa silhouette. Elle ne cache pas qu’elle aime être enceinte. Ce qu’elle ne proclame pas sur tous les toits, par contre, c’est qu’elle aime aussi beaucoup faire ce qu’il faut pour y arriver. Cela, Julie l’a découvert il y a bien des années. Ses parents lui ont, ce jour là, bien involontairement, à leur insu, donné son plus magistral cours d’éducation sexuelle. Une nuit, elle avait été éveillée par un cauchemar. Angoissée, elle a voulu chercher consolation auprès de ses parents. La consigne à la maison est de frapper avant d’entrer dans une chambre, qui que ce soit et quelle que soit la chambre (ses parents eux-mêmes observent cette règle). De plus, ses parents poussent le loquet de leurs portes pour pallier les éventuels oublis. Mais cette nuit-là… Au lieu d’aller frapper à la porte du couloir, Julie est passée par la penderie plus près de sa ...
... chambre. Elle franchit la première porte pour toquer à la seconde, mais celle-ci était grande ouverte sur la chambre brillamment éclairée. Elle s’avança et s’arrêta, sidérée, en découvrant sa mère entièrement nue, cheveux défaits, tournant autour de la table, poursuivie par son père dans la même tenue. Le manège dura quelque peu avant qu’il ne parvienne à l’attraper. Ils échangèrent alors un long baiser avant que son père ne pousse sa mère vers le lit où elle se laissa choir, jambes écartées. Son père s’agenouilla et enfouit sa tête entre les cuisses amplement ouvertes pour lécher et sucer ce qui était si généreusement offert. Julie aurait dû partir ; au contraire, elle s’approcha, tout en restant dans l’ombre, pour voir sa mère onduler en secouant la tête. De la sexualité, elle en causait avec les copines ; il y avait eu des cours. Mais là, de voir ses parents, c’était autre chose. De sa place, elle avait un double point de vue : le premier, direct ; le second, par l’intermédiaire du miroir de l’armoire. D’une voix sourde mais distincte, qu’elle reconnaissait à peine, elle entendit sa mère dire : — Chéri ! Vas-y, bouffe-moi la chatte.— Oh oui, enfonce ta langue.— C’est bon ! C’est bon ! Ah, mon salaud… Oui ! Continue sur le bouton. Après être restée un temps silencieuse, sa mère repoussa la tête de son mari qui se redressa. Ce fut alors elle qui se mit à genoux devant lui pour s’emparer de ce qui fait de lui un homme ; et cela n’avait rien à voir avec le petit bout de chair ...