Convalescence
Datte: 24/09/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... de volonté. Je me sentais désarmé, offert, avec mes jambes écartées. Au point d’avoir peur, peur d’elle, de ce qu’elle pourrait me faire. Heureusement, elle ne me voulait que du bien. Quand sa bouche a enfourné mon gland en même temps que son autre main se posait sur ma hampe, je sais que j’ai crié. J’ai senti sa main relâcher sa pression sur mes bourses et se poser juste dessous, à plat. La seconde suivant, je criais de nouveau. Sa main supérieure, celle qui était sur ma hampe, s’était rabattue vivement vers le bas, écrasant à peine mes testicules contre son autre main. Mais suffisamment pour que je ressente une pointe de douleur. Ce n’était pas une maladresse de sa part. Elle a recommencé quelques instants plus tard. C’était le plus doux des supplices. Chaque fois qu’elle relevait sa main sur ma hampe, j’ignorais si, en la rabattant, elle allait de nouveau heurter mes testicules, relevés par son autre main. Et cette incertitude, ce mélange de plaisir et de douleur, étaient insupportables, dans le meilleur sens du terme. Mon corps lui obéissait. Elle le faisait se tendre, se détendre, au rythme de sa bouche et de ses mains. Quand j’ai joui dans un dernier cri, sa main a de nouveau serré mes testicules, comme pour que je vide tout mon sperme dans sa bouche, jusqu’à la dernière goutte. J’ai mis du temps à revenir sur terre, à rouvrir enfin les yeux. Elle me regardait gentiment. Elle a dégluti, sans doute pour bien me montrer qu’elle avalait mon sperme. Subitement, j’ai enfin ...
... compris pourquoi les femmes, après l’orgasme, disaient parfois des mots d’amour, mêmes quand elles n’étaient pas amoureuses. Car moi aussi, j’avais envie de lui dire que je l’aimais. Ces mots montaient vers ma bouche, naturellement. Bien sûr, ce n’était pas de l’amour. Juste de l’émotion, de la gratitude après le plaisir qu’elle m’avait donné. Il aurait été ridicule de dire "merci", trop compliqué de prononcer une phrase. Avec quels mots ? En plus, j’avais le souffle trop court, je haletais comme une forge. Alors, je crois que les mots ont passé ma bouche, pas complètement. J’ai réussi à les réprimer. Elle a compris ce que je ressentais : — Ne t’inquiète pas, moi aussi, en ce moment, je t’aime. Mais ça ne signifie rien. Juste que c’était bon. Si tu veux me dire des choses douces, fais-le avec ta langue. Ses genoux ont entouré mon visage. Son sexe s’est délicatement posé sur ma bouche. Et je l’ai emmenée où elle voulait aller. Ensuite, il fallait quand même que je lui dise. Parce que c’était la vérité : — Tu m’as fait la plus belle pipe de toute ma vie.— Merci. Même si j’ai rarement eu des reproches de ce côté là, c’est très agréable à entendre. Pierre s’était trompé en disant qu’elle "aimait la bite". Ou n’avait pas encore compris, à l’époque où il avait prononcé ces mots. Céline aimait les hommes, entièrement, jusqu’au bout. Elle suçait mieux que Claire. Je ne sais pas pourquoi, j’en étais heureux. Comme s’il m’avait fallu cette révélation pour me débarrasser de ma colère ...