1. Convalescence


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, extracon, vacances, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... Nous avons fait l’amour lentement, paisiblement, sans le côté effréné de la première nuit. Nous avions ce luxe inouï : un peu de temps, un peu de calme. Et aucune mauvaise conscience : c’étaient les autres qui avaient commencé. Nos corps s’accordaient, montaient ensemble vers le plaisir. Après l’amour, les gestes exprimaient naturellement une sorte de reconnaissance envers l’autre, de remerciement, les mots aussi, et le désir revenait, à son rythme. ----- Le vendredi, Céline m’apportait un tube de gel lubrifiant, en me demandant d’être doux. Je ne savais pas que la sodomie pouvait être un acte si tendre, si respectueux. J’ai pris un plaisir fou à l’ouvrir, à détendre patiemment son anneau, à en faire mon allié. Je n’ai pas voulu la prendre en levrette. Ça me semblait trop animal. Je voulais la voir, la toucher, la sentir. Je l’ai allongée sur le flanc, les jambes en chien de fusil, et suis venu contre elle. Elle m’a accueilli dans ses reins avec un long soupir de plaisir, puis m’a demandé de rester là un moment, sans bouger. Nous étions soudés l’un à l’autre. Je lui embrassais la nuque, lui caressais les seins. Elle me disait qu’elle se sentait pleine de moi, investie, et remuait lentement les fesses pour mieux me sentir. Ma main est descendue vers son clitoris, l’a faite jouir. J’ai juste accompagné les contractions de son anus sur mon sexe et l’ai rejointe dans le plaisir. Nous sommes restés ainsi, l’un contre l’autre, sans un mot, mes mains plaquées sur ses seins, jusqu’à ...
    ... ce que son anus repousse mon sexe au repos. Il n’était rien à dire. Nous avions fait l’amour pleinement, sereinement, sans se soucier du reste du monde, comme un couple. J’ai regardé mon sexe. Il était propre. Preuve qu’elle avait songé à tout, et s’était nettoyée. Il est rare de ne penser à rien. J’y suis parvenu. J’étais bien. Elle m’a sorti de cette torpeur en me basculant sur le dos, et en recouvrant son corps avec le mien. Puis, lentement, en embrassant ma peau, sa bouche est descendue, centimètre pas centimètre. Je savais où elle allait. Mon sexe l’a compris aussi, et s’est remis à bander. Elle l’a pris dans sa main, sous les testicules, et l’a serré, fort. J’ai poussé un cri, de surprise, de plaisir, de douleur aussi. Elle me regardait, le regard brillant : — Ne bouges pas. Là, tu es à moi, je te tiens, c’est ma revanche. Vous êtes forcément vulnérables, les hommes, plus que nous, avec votre sexe tourné vers l’extérieur, facile à prendre. C’est votre faiblesse. Laisse-moi ce plaisir. Sa jambe est venue entre les miennes, et les a écartées, son pied contre ma cuisse, son genou contre l’autre. Elle n’avait pas relâché la pression de sa main. Un de ses doigts a glissé jusqu’à la naissance de mon sexe, puis a trouvé facilement mon anus, entre mes fesses ouvertes. J’étais tétanisé par le plaisir, par l’attente. Céline avait raison, j’étais vulnérable, elle me tenait, complètement, avec sa main refermée sur mes testicules, comme aucune femme ne m’avait tenu. Je n’avais plus ...
«12...121314...»