1. Convalescence


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, extracon, vacances, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... puis recouvre mon corps de baisers légers, comme si elle lui disait au revoir. Arrivée à mon sexe, ses baisers se font plus insistants : — J’aimerais te faire jouir dans ma bouche.— Je ne crois pas que je peux, pas tout de suite. Je n’ai plus 20 ans.— Laisse-moi essayer, et détends-toi. Sa bouche happe mon gland, ses ongles agacent mes testicules. Mon sexe reprend un peu de vigueur, pas beaucoup, mais suffisamment pour qu’elle en prenne possession. Pour me stimuler, je repense à cette soirée, à des images précises : son pied sous la table, ses seins qui se soulevaient après l’amour, ses mains écartant ses fesses. Je pose ma main sur sa nuque, pour guider son rythme. Mon sexe n’est toujours pas dur, mais le plaisir monte. Je dois me concentrer pour ne pas le perdre. Ce n’est pas la meilleure pipe de ma vie, car je n’ai plus grand-chose à donner, mais elle finit par m’emmener à l’orgasme, et se relève vers moi : — Désolée d’avoir insisté. Je sais que tu n’en avais plus vraiment envie. Mais je voulais avoir ton sperme partout. Cette phrase me fait penser, pour la première fois mais un peu tard, que nous n’avons pas utilisé de préservatif. De toute manière, je n’en avais pas. Et je n’en ai jamais mis, je suis de la génération d’avant… Un ultime baiser. Sa bouche porte désormais le goût de mon sexe. Elle se lève et se rhabille : — Ne m’accompagne pas. Je connais le chemin. Laisse les enfants dormir, demain. Tu n’as qu’à passer vers 11 heures. ----- Nous étions revenus dans la ...
    ... réalité de nos vies. J’entends la porte se refermer. J’éteins la lumière. Les draps sentent l’amour. Mon gland est douloureux, séquelle de la sodomie. Je pense à Céline, à la manière dont elle s’est donnée à moi, sans prévenir, mais totalement. Je me demande, l’émotion retombée, si je ne me suis complètement trompé sur son compte, sur la nature du couple qu’elle forme avec Pierre. Pour qu’elle ait agi comme ça, pour qu’elle ait prévenu sa sœur qu’elle allait me rejoindre, je ne suis certainement pas le premier. Cette réflexion me laisse un goût amer. On croit connaître les gens. Et on découvre subitement que la femme d’un de vos amis, dès son mari parti, va se faire sauter par un homme sans doute choisi plus ou moins au hasard dans son entourage ! Pierre avait raison : sa femme aime la bite. Il est trop tard pour faire preuve de solidarité masculine, mais je pense à lui. Pauvre Pierre, il a épousé une vraie salope. À moins, ce qui serait pire encore, qu’il ne parvienne plus à la satisfaire. Oui, ce doit être l’explication. Une femme sexuellement frustrée, la fatigue due à un effort physique, un peu d’alcool, son mari absent, sa libido qui l’emporte. Mais je n’éprouve pas de remords à l’égard de Pierre. Quel homme saurait résister quand une jolie femme s’offre à lui de manière si brutale, sans lui laisser le temps de réfléchir ? En revanche, j’en veux à Céline. D’être femme adultère, une femme facile, de m’avoir retourné comme un gant alors que, pendant onze ans, jamais je n’avais ...
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