1. Liaison dangereuse à Venise


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio,

    Cela fait maintenant 30 minutes que j’essaie de me concentrer sur le spectacle ; mais rien à faire, je n’aime pas l’opéra. Je suis pratiquement hermétique à ce type de musique. Je regarde le ténor en train de chanter et je le trouve grotesque. Il y a quelque chose en moi qui ne va pas ! Beaucoup de gens aimeraient être à ma place. Assister auTurandot de Puccini dans le magnifique théâtre deLa Fenice à Venise, ce n’est pas donné à tout le monde. Je regarde Catherine, ma compagne ; elle, par contre, est captivée. Elle a tout de suite été enthousiaste quand mon patron nous a invités à cette représentation ; je la vois vibrer au rythme du spectacle et de la musique. Elle tient ma main et je peux sentir les émotions qui la traversent. De temps en temps,l’ingeniere Stefano Catani, mon patron, me regarde et me fait signe, l’air de dire « Vous avez vu ? C’est super, hein ? ». Et moi, bien sûr, j’acquiesce d’un petit signe de tête. Il en faut pour tous les goûts. Le rideau se ferme : fin du premier acte. Ouf ! Catherine se retourne vers Donatella, la femme de Stefano et lui dit : — Quelle émotion… Merci beaucoup pour cette invitation ! Il faut absolument que je sorte ; je n’en peux plus ! — Bon, je vous laisse un moment ; je vais dehors fumer une cigarette !— Marc, rejoignez-nous après au bar de lacaffetteria Hausbrandt à l’intérieur.— OK, boss à tout de suite.Ciao ! L’air frais du dehors me fait du bien ; je savoure ma Malboro avec passion. Il va falloir que j’arrête le plus ...
    ... rapidement possible : ça va me tuer, cette cochonnerie ! Catherine me fait une guerre sans merci ; j’ai bien vu qu’elle était contrariée quand je suis parti. Plusieurs personnes sont sorties, certains font les cent pas, d’autres discutent entre eux. Je remarque une jeune femme dans une robe « gris perlé » qui semble venir vers moi. Elle a une cigarette à la main. — Vous avez du feu ? Sans rien dire, je lui tends mon briquet allumé. Avec sa main, elle repousse la masse de ses longs cheveux frisés blond roux et penche la tête pour allumer sa cigarette. Elle aspire avidement en me regardant avec un sourire. —Grazie mille !— Ça fait du bien, hein ? Comme toujours, mon accent me trahit tout de suite ! — Vous êtes Français ?— Je ne peux pas le cacher !— Alors, bonne soirée ! me dit-elle en français. Puis elle me tourne le dos. Je la regarde s’éloigner vers un groupe de personnes quand soudain elle se retourne et regarde dans ma direction. Quand elle s’aperçoit que je la fixe encore, elle me fait un petit signe de la main que je lui rends avec un petit sourire. Je reste là, interdit ; je suis sous le charme, elle est magnifique. Avec ses talons hauts et sa robe longue, elle semble très grande. Je distingue son corps qui bouge sous le tissu satiné ; ses yeux marron semblent scintiller dans la pénombre. Je retourne dans le théâtre retrouver Catherine, Stefano et Donatella. Nous buvons une coupe deprosecco quand la sonnerie retentit. Le deuxième acte commence : il va falloir je m’arme de ...
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