1. Liaison dangereuse à Venise


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio,

    ... patience ! Au bout de quelques minutes, je m’ennuie à nouveau. Je pense à ma belle inconnue. De notre loge – Stefano ne fait pas les choses à moitié – je peux voir toute laplatea et je la cherche. À un moment, la lumière se fait plus forte sur scène ; je l’aperçois là, juste devant moi : des cheveux pareils, ça se remarque tout de suite. Elle aussi scrute l’audience ; me cherche-t-elle ? Soudain, nos yeux se croisent et nous nous fixons un long moment. Long ? Enfin, cinq secondes environ ; cinq secondes, c’est long ! Plusieurs fois durant la soirée nos regards se sont rencontrés, et c’est son image que j’ai en tête pendant que nous marchons, Catherine et moi, vers notre appartement, dans les venelles de Venise. Nous montons rapidement les deux étages et entrons dans notre appartement juste derrière Campo San Agnese. Catherine ouvre les fenêtres afin qu’un peu de fraîcheur entre, mais c’est surtout une odeur humide qui se répand dans la pièce, tandis que le clapotement de l’eau du canal tinte à nos oreilles. Je retire mon pantalon, ma chemise, et m’écroule sur le lit. Catherine se tourne vers moi et commence à se déshabiller. — Tu n’aimes pas l’opéra : tu t’es sacrifié pour moi.— Tu as tout compris ! Alors, je mérite une récompense. Nous vivons ensemble depuis quatre ans, et elle n’a pas hésité à me suivre quand j’ai eu une proposition de travail dans ce grand cabinet d’architecture à Venise. Elle a pris une année sabbatique de l’Éducation Nationale et passe ses journées à ...
    ... visiter la ville et ses musées. Pour un professeur d’Histoire de l’art, c’est le rêve ! Dans la pénombre, je sens la main de Catherine se glisser dans mon caleçon et me caresser, puis ce sont ses cheveux blonds qui glissent doucement sur mon pénis qui commence à se dresser. — Une petite gâterie ? Ce sera suffisant comme récompense ?— Non : c’est ton abricot que je veux, ma petite chérie. Enlève tes vêtements et viens sur moi ; je ne fais rien : l’opéra, c’est épuisant !— Inculte ! Ta culture musicale se résume aux rythmes binaires : c’est une musique de sauvages !— Le jazz, une musique de sauvages ? Éclectique ; je suis éclectique. J’aime toutes les musiques. Tout à coup, je sens sa bouche engloutir mon sexe. Quelques instants plus tard, elle me chevauche tandis que j’emprisonne ses petits seins dans mes mains. Je n’arrive pas à sortir de ma tête ma belle inconnue, et c’est elle que j’imagine à la place de Catherine en train de jouir. ************************* Deux jours sont passés, et j’ai presque oublié cette belle Italienne aux cheveux roux. Comme chaque matin, je prends levaporetto pour me rendre dans le quartier de San Basilio où se trouve le studio d’architecture ; j’en profite pour lire le journal que j’ai ouvert en grand devant moi. Tout à coup, je vois mon canard se plier en deux ! C’est elle avec sa main ! Elle est juste là en face de moi, avec un grand sourire. —Ciao ! Comment ça va ? me dit-elle en français, puis poursuit en italien : c’était une belle soirée, non ? ...
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