1. Liaison dangereuse à Venise


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio,

    ... Vous êtes très belle ! Tout à coup, elle enlève la veste de son tailleur, se baisse et remonte sa jupe, découvrant ses longues jambes et une culotte sombre très échancrée. J’en ai le souffle coupé et une onde de désir parcourt mon corps ; je la prends dans mes bras et nous nous embrassons brutalement. Mes mains parcourent son corps, ses seins, ses fesses ; je sens une érection terrible tendre mon pantalon. Je la pousse sur la table au centre de la pièce en repoussant une chaise avec un geste brutal. Elle s’y allonge, remonte ses jambes et retire sa culotte qui atterrit sur le plancher. Je n’ai pas le temps de la regarder car, tout en continuant à l’embrasser, je défais ma ceinture, baisse mon caleçon et, empoignant mon sexe en érection, je m’allonge sur elle en cherchant à la pénétrer. Mais je sens qu’elle n’est pas encore prête. Elle interrompt son baiser et me dit : — Vas-y doucement ;piano, per favore ! Avec ma main droite je prends un peu de salive et entreprends de caresser son intimité. J’introduis rapidement un doigt puis deux ; quand je sens finalement son antre bien lubrifié, je la pénètre doucement, tandis que ses jambes relevées se referment sur mon dos. Ses longs cheveux frisés se sont détachés et chatouillent mon visage tandis que je sens son corps se cabrer sous moi. C’est trop fort, trop rapide ; impossible de me contrôler : je jouis en elle quelques minutes plus tard. Piètre performance ! Je me relève et m’assois sur le bord de la table en remontant mon ...
    ... caleçon. — Je suis désolé, j’avais trop envie de toi.— Mais non, c’était bien ! Elle reste allongée. Avec sa main gauche, elle cache son sexe ; avec sa droite, son visage. — Mon Dieu, comment ai-je pu faire une chose pareille… J’ai honte ! Je la regarde en souriant tandis qu’avec une caresse je lui dis : — Il n’y a pas de honte à avoir du plaisir ! Que lui dire ? Moi aussi j’ai honte, ce n’est pas bien. Mais c’était tellement bon ! — Julien, je suis mariée ! Mais tu me plais… me dit-elle en prenant ma main et en la posant sur son sein. Tu sens mon cœur, comment il bat ? C’est à cause de toi ! Soudain, un frisson de peur me secoue ; ça y est, ça va être « Fatal attraction » : comme Glenn Close, elle va détruire mon couple… Elle me regarde, s’aperçoit de mon trouble et se met à rire en s’asseyant à côté de moi. — N’aie pas peur : je ne suis pas folle, ni nymphomane !— Sandra, il faut que je parte, que je retourne au travail.— La belle blonde aux yeux bleus qui était assise à côté de toi àLa Fenice, c’est ta femme ?— Presque : ma compagne. Elle se penche vers moi, m’embrasse doucement et me dit : —Ciao. Ne te préoccupe pas : tout va bien. Je la quitte avec un baiser, et comme un zombie je retourne au travail. ************************* Pendant presque une semaine, je ne revois pas Sandra. C’est plus fort que moi : chaque matin, je la cherche dans letraghetto mais elle a disparu. Il ne faut plus y penser ; ça va me passer. Ce dimanche, comme de nombreux Vénitiens, avec Catherine nous ...
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