1. Liaison dangereuse à Venise


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio,

    ... allons sur la plage du Cavallino pour prendre le soleil et nous baigner. Allongés sur nos lits de plage et sous le parasol, nous profitons de la chaleur atténuée par une légère brise marine. Je regarde Catherine plongée dans son livre :Le Titien et la peinture italienne. Quel ennui ! Des prêtres, des évêques… il n’y a que ça sur ces toiles. Je me replonge dans mon polar américain quand tout à coup je la vois, là, à quelques mètres en train de marcher sur la plage en compagnie d’un bel homme plus âgé aux cheveux argentés. Son bikini ne cache pas grand-chose de son corps aux lignes féminines et élancées. Je ne la quitte pas des yeux pendant qu’elle passe devant moi. Grâce à un petit regard appuyé de sa part, je comprends qu’elle m’a reconnu ; mais heureusement, elle fait mine de rien. Tout à coup, je reçois un coup de poing sur le bras ! — Faut pas te gêner ! Tu l’as bien regardée ? me dit Catherine. Aïe ! Vite, il faut que je trouve quelque chose à dire ! — Regarder, c’est mal ? Tu regardes des peintures d’évêques, et moi les belles filles.— Remarque, c’est vrai : elle est très belle. Mais tu sais qui c’est ?— Non.— C’est la femme de Mario Grassi, le préfet de Venise ; c’était lui, avec elle. Attention, Marc : les Italiens sont très jaloux !— Et toi, tu n’es pas jalouse ?— Essaie et tu verras ! Lui aussi est « bel homme ».— Ouais… Mais un peu vieux pour elle ! Super ! Les choses sont très simples : je trompe ma compagne avec la femme du préfet, et il va me mettre en taule. ...
    ... Dans quelle galère je suis en train de me mettre ! Une demi-heure plus tard, je vois Sandra se diriger vers les cabines de bain. Je regarde Catherine qui dort ; son livre est tombé sur le sable. La peinture sacrée ne fait pas dormir que moi ! Je ne réfléchis pas : je me lève et me dirige vers le fond de la plage. Je la surprends en lui prenant la main et en l’entraînant dans la première cabine de bain entrouverte. D’elle-même, elle se retourne et ferme le verrou de la porte en me disant : — Tu es fou, on va nous voir !— Depuis que je t’ai vue, je ne pense plus qu’à une chose…— Vite, embrasse-moi, vite ! En silence,per favore ! Je la prends dans mes bras et nos bouches avides s’écrasent l’une contre l’autre ; mes mains exploratrices dégagent ses seins lourds et fermes, que je découvre pour la première fois : leur blancheur contraste vivement avec le bronzage du reste de son corps ; ils n’en sont que plus émouvants. C’est brûlantes de désir que mes lèvres s’emparent de ses mamelons qui se raidissent sous mes baisers. — Doucement avec mes seins, ils sont très sensibles ! Avec mes mains, j’essaie maladroitement de baisser le bas de son maillot, mais elle me repousse et se le retire elle-même précipitamment. Je regarde autour de moi : dans la pénombre, je découvre un petit banc en bois contre le mur ; je baisse mon short et m’y assois en lui faisant signe de venir. Elle essaie, mais ses genoux cognent la paroi et ne lui permettent pas de venir sur moi. Elle se retourne en me tournant ...
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