1. Liaison dangereuse à Venise


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio,

    ... le dos, m’enjambe, s’empare de mon sexe et, en pliant les jambes, descend à mon contact. Je plaque ma main sur sa taille pour lui intimer de descendre encore, mais elle se relève et se caresse. Je prends la relève et introduis hâtivement deux doigts dans son intimité, qui rapidement s’humidifie sous mes caresses, tandis que ma bouche et mon nez s’encastrent dans son divin sillon qu’elle a dégagé en s’écartant les fesses avec les deux mains. Puis, s’emparant de mon érection, elle s’empale sur moi avec un petit râle de plaisir et commence des va-et-vient de plus en plus rapides tandis que mes mains s’accrochent à ses fesses rebondies. Elle commence à haleter et je dois poser ma main sur sa bouche pour l’empêcher de faire du bruit. — Doucement, Sandra, on va nous entendre ! Puis, n’y tenant plus, je me lève en la poussant vers le mur d’en face très proche, où elle s’appuie en levant les bras. Je la besogne presque brutalement, et rapidement jouis en elle. Elle se dégage ; et pendant qu’elle enfile son bikini, elle n’arrête pas de dire : — Je suis folle, tu es fou, on est fou ! Puis après un petit baiser, elle ouvre la porte, regarde dehors et disparaît. Je regarde ma montre : 15 minutes ; un record ! Avec elle, ça va devenir une habitude… Je me rhabille et passe devant Catherine qui est encore endormie sous le parasol. Je me précipite vers la mer et me plonge dans l’eau presque trop chaude pour tenter de refroidir mon corps brûlant. Après quelques brasses, je rejoins ma compagne ...
    ... et m’allonge sur le lit de plage. — Tu t’es baigné ? Tu aurais pu m’attendre !— Tu dormais, ma chérie ; tu étais avec les anges de Michelangelo.— Non : ici, à Venise, ce serait plutôt les anges de Veronese. Inculte ! Elle se relève et m’embrasse sur la bouche avant de courir vers la mer pour piquer une tête. Ce que je viens de faire, c’est « n’importe quoi » ! Et maintenant, je fais quoi ? Je regarde Catherine sortir de l’eau ; les bras en l’air, elle tire ses cheveux blonds en arrière. Elle est si belle ! Je l’aime, j’en suis sûr, et je la désire encore plus en ce moment. L’idée de l’emmener elle aussi dans la cabine de bain me passe par l’esprit. Mais non, ce n’est pas possible ! Je suis un salaud ou quoi ? Je repense à Sandra, et déjà le désir resurgit… ************************* Quelques jours plus tard, avec Catherine nous nous rendons à pied à l’inauguration d’une exposition d’un peintre local dans une galerie au centre de Venise. C’est Donatella – la femme de Stefano, mon patron – qui l’organise, et elle tient particulièrement à notre présence. Ça ne me plait pas plus que ça, mais il faut entretenir notre vie sociale et je sais que cela fait plaisir à Catherine. Elle a choisi ma chemise, ma veste, et noué elle-même ma cravate qui me serre le cou. Il faut dire qu’elle a passé un certain temps à se préparer et arranger sa coiffure ; les talons de ses fins escarpins claquent sur le pavé. — Ce ne sont pas des chaussures à talons qu’il te faut à Venise ; tu aurais dû mettre ...
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