1. Liaison dangereuse à Venise


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio,

    ... rentreront que dimanche. J’ai prétexté du travail en retard et mon ennui profond pour la peinture sacrée pour rester à Venise. Sandra aussi est libre, et nous allons pouvoir finalement passer quelque temps ensemble. 17 heures, la voilà ! Au pied du Campanile, elle m’attend : je l’ai tout de suite reconnue au milieu de la foule. Ses cheveux sont attachés avec un bandeau, elle est vêtue d’une petite robe courte très cintrée qui met en valeur sa silhouette et ses jambes. Elle porte un petit sac en bandoulière tandis que pour moi, mes affaires sont dans ma serviette de travail. Elle m’accueille avec un grand sourire, mais sans effusion : on ne sait jamais ! —Ciao, Sandra. Tu es de plus en plus belle ! Ma belle Rousse…— Mais je ne suis pas Rousse, je suis blonde !— Blond vénitien.— Viens ; allons tout de suite à l’hôtel, je préfère que nous ne restions pas dehors ! J’ai réservé un hôtel à touristes, on sera incognito.— Sandra…—Si ?— J’ai hâte de te prendre dans mes bras ! Elle n’a pas fait les choses à moitié : l’hôtel sur la Riva degli Schiavoni offre une vue incomparable sur l’ile de San Giorgio. Après nous être embrassés, elle disparaît dans la salle de bain tandis que je commence à vérifier le contenu du mini-bar. J’ouvre deux petites bouteilles deprosecco et nous nous asseyons face à face sur la terrasse en le dégustant. Comme le vin, ses yeux pétillent de malice. — Tu te rends compte ? Une nuit entière, tous les deux ! J’allonge la main sur son genou et tout en la regardant, ...
    ... je la glisse sous sa robe et caresse l’intérieur de ses cuisses sans toucher son sous-vêtement. Je sens son corps qui frémit tandis qu’elle ferme les yeux. Elle ouvre d’abord les jambes pour m’aider puis les referme brusquement pour emprisonner ma main. — Marc, allons-y doucement cette fois : je suis à toi et seulement à toi jusqu’à demain ! Elle se lève, prend ma main et m’entraîne dans la chambre, défait ma ceinture, baisse mon pantalon et me pousse sur le lit. Après avoir baissé mon caleçon, elle s’agenouille sur le lit, se baisse et emprisonne mon sexe déjà tendu dans sa bouche chaude et humide où je sens sa langue me lécher en virevoltant. Je lui demande de m’enjamber ; ainsi, je suis en première position pour observer sa croupe : sa robe très courte retroussée par sa position découvre ses fesses imparfaitement cachées par l’échancrure du slip. Je découvre le dessin de la fente du sexe contre le slip de satin. Mon doigt inquisiteur se faufile sous le tissu ; je sens chaleur humide de ses lèvres intimes et la pilosité de son pubis. Je ne veux pas jouir tout de suite ! — Attends un peu, retirons nos vêtements. C’est debout sur le lit que nous nous déshabillons, puis elle s’assied sur le lit à côté de moi ; le contraste entre la blancheur de ses seins et le reste de son corps est impressionnant. Je les caresse, mais comme les autres fois elle me met en garde : — Mes seins ! Vas-y doucement.— Ils sont tellement beaux et ta peau est tellement douce… Viens au-dessus de moi et ...
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