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Liaison dangereuse à Venise
Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, frousses, extracon, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio,
... donne-les-moi, toi ! dis-je en m’allongeant sur le dos. Elle se penche au-dessus de moi en approchant ses tétons de mes lèvres ; je commence par les lécher, les embrasser, les prendre dans la bouche puis je les tète comme un bébé. Elle m’enjambe face à moi et descend doucement en introduisant en elle mon pieu raide de désir ; je plie les jambes, prends appui sur mes pieds et soulève mon bassin pour venir à sa rencontre. Nos mouvements s’accélèrent rapidement. Nous gémissons en cadence ; j’entends des bruits humides de succion à chaque fois qu’elle se retire presque complètement pour retomber sur moi avec un petit soupir. J’emprisonne ses fesses que je presse brutalement dès que je sens la jouissance irradier mon bas-ventre. Comme elle n’a pas encore joui, je me retire et la masturbe avec ma main tout en l’embrassant jusqu’à que je sente son corps se raidir et être parcouru de petits spasmes. Nous décidons d’appeler le room-service pour manger dans la chambre. Nous revêtons nos peignoirs, et c’est sur la terrasse que nous dégustons diversantipasti et une salade de fruits fraîche, le tout arrosé d’un vin blanc fruité. Nous regardons la lumière décliner rapidement et le grand canal s’illuminer. Nous parlons finalement longuement et nous ne pouvons que rire de notre situation d’amants adultères dans la ville des amoureux. Puis à nouveau, je pioche dans le mini-bar deux petites fioles de vodka que nous sirotons après que Sandra se soit assise sur mes genoux. Elle me susurre à ...
... l’oreille : — J’ai une surprise pour toi…— Ah oui ? Et c’est quoi ?— Si je te dis tout de suite, ce n’est plus une surprise ! Je reviens tout de suite. Elle disparaît dans la salle de bain ; j’en profite pour m’allonger sur le lit car la tête me tourne. C’est irrésistible ; mes yeux se ferment et je m’assoupis. — Marc, réveille-toi !— Excuse-moi : c’est la vodka.— Regarde-moi. Vite, je me sens très gênée. J’ouvre les yeux complètement : elle est là devant moi. Elle s’est vêtue de lingerie noire : un petit bustier où ses seins tendent la corbeille du soutien-gorge, une petite culotte complètement transparente et des bas accrochés par de fines jarretelles. Elle a remonté ses cheveux en chignon et lève les bras en tournant sur elle-même. J’en ai le souffle coupé ! Heureusement que je suis allongé, car elle est à tomber par terre. — Tout ça, c’est pour toi. Tu aimes ?— Tu plaisantes ? J’adore ; ça va être ta fête !— Je suis ta petite putain ! Je me lève, lui prends les mains et à nouveau la fais tourner sur elle plusieurs fois. Ensuite je lui demande de marcher dans la chambre, ce qu’elle fait bien volontiers, presque en dansant. Je fais tomber mon peignoir par terre, la colle contre moi et l’embrasse passionnément tandis que mes mains courent sur son corps. Elle s’assied sur le bord du lit ; je m’agenouille par terre entre ses jambes que j’ai écartées, pousse doucement sur son buste pour qu’elle s’allonge. Je commence à jouer avec la fine étoffe de la petite culotte que je caresse, ...