1. Allemande


    Datte: 27/09/2018, Catégories: fh, intermast, Oral pénétratio, fsodo,

    ... vagin complètement distendu. Cette phase de cunnilingus et de masturbation la conduisit à plusieurs orgasmes, et j’en ressentais à chaque fois l’effet a travers du flot de mouille qui s’amplifiant juste avant qu’elle jouisse. Mais moi j’en voulais aussi pour mon Popaul qui était au garde à vous depuis un bon moment ! Aussi je me dégageai, et m’allongeant sur elle je l’enfourrai d’un seul coup, j’ai même cru que mes testicules allaient y passer tant elle était ouverte. Elle recommença avec ses « Ja » et ses « Hummpff », et lorsque je sentis ses ongles s’agripper à mes reins, je sus qu’il fallait que je procède à une livraison. Je vidais tout ce que j’avait mis en production depuis la pipe matinale, et je ressortis ma verge dégoulinante, (il y avait un long filet de jus reliant mon gland à sa fente ouverte), et remontant m’asseoir sur sa poitrine, je lui offrait celle-ci en guise de petit déjeuner. « Das ist dein Früstück », (c’est ton petit déjeuner) lui dis-je en la lui glissant entre ses lèvres. Elle me remercia par une toilette labiale qu’elle pratiqua à merveille. Néanmoins l’heure tournait, et elle me demanda soudain, réalisant qu’il fallait compter avec la pendule, car nous entendions une légère animation dans le couloir. — Wieviel Uhr ist es? mein Liebling (quelle heure est-il? mon chéri) Un coup d’œil sur ma montre m’indiqua que les sept heures étaient largement passées. Le lui ayant révélé, elle se leva comme une folle, passa sa culotte, sa jupe, son chemisier, et ...
    ... après m’avoir embrassé une dernière fois, elle me dit un « Auf Wiedersehen » (au revoir), plein de nostalgie. Je restais seul. Allongé sur mon lit, je reprenais mes esprits, tandis que j’entendais les allemands parler sur le palier en train de sortir leurs valises. Je me levai pour aller me passer un coup de gant rapide, mais la nuit ayant été courte, je repiquai un somme, et à neuf heures passées, je sortais de ma léthargie. Quelle nuit ! Pensai-je en moi-même ! C’est en me levant, et en repoussant une des chaises que j’aperçus par terre le soutien-gorge de Greta, elle l’avait oublié dans sa précipitation ! Je le gardais comme une relique, sachant que je ne savais d’elle, rien d’autre que son prénom : Greta Je descendis pour prendre mon petit déjeuner, et je passais à la réception, pour demander à ce que l’on prépara ma note. Le patron qui passait à cet instant vint me saluer, d’une vigoureuse, mais chaleureuse poignée de mains, puis se tournant vers la réceptionniste, il lâcha : — Laissez, Monsieur est mon invité ! - puis se tournant vers moi - je vous dois bien ça, vous savez, l’ambiance que vous avez mise hier soir, eh bien, du temps de mon pauvre père c’était comme ça ! Alors pour sa mémoire, et ces airs d’accordéon, je vous fait cadeau de la soirée ! Et n’hésitez pas à revenir, vous serez toujours le bienvenu ! Après les remerciements d’usage, je pris congé, mais j’ai longtemps pensé à cette soirée, amusement, amour et tout ça pour…pas un rond ! Bien sûr que je suis ...
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