1. Un parfum de victoire sur la Grande Boucle...


    Datte: 28/09/2018, Catégories: ffh, inconnu, vacances, sport, collection, odeurs, Masturbation Oral pénétratio, init,

    ... s’exclame Annabelle.— Et… sa fiancée ?— Oh ! Mais elle est au courant, bien sûr. Au début, elle voulait même que ce soit son odeur mêlée à celle de son fiancé bien sûr, mais elle a vite compris que la solution était pire que le mal. D’abord, l’odeur ne reste pas longtemps imprégnée et puis il ne pouvait pas éjaculer tous les jours…— C’est pas bon pour la condition physique, ajoute doctement Armelle.— Seulement, reprend Annabelle, il en a besoin pour que la jouissance de sa victoire soit totale. Alors, on a trouvé une autre solution… Voilà comment, la direction de course, pour satisfaire les « caprices et fantasmes » d’un champion de grande classe, sacrifie tous les jours deux de ses hôtesses de podium, choisit un invité, si possible célibataire et beau gosse (hum, les fleurs ne sont pas très chères, je vous l’accorde) pour récupérer, à heure fixe, le mélange d’odeurs de sexes pour qu’ensuite, en grimpant sur le podium et en endossant le fameux maillot jaune, la jouissance du champion soit totale ! J’en reste comme deux ronds de flan. Quelques minutes après, un interphone rappelle les impératifs horaires à mes deux hospitalières parfumeuses qui m’invitent à les suivre. D’en bas du podium, sous les applaudissements de la foule, presque en délire, je peux constater qu’en effet, le champion a autour de son cou une serviette éponge blanche, qui semble immaculée, et dont il respire à pleins poumons les odeurs, tout en faisant semblant de s’essuyer avant de se laisser passer un ...
    ... nouveau maillot jaune et s’emparer de la petite peluche qu’Armelle lui tend. Une peluche qu’il embrasse effectivement à pleine bouche sur le ventre et les flancs, se délectant au passage des saveurs laissées par Annabelle et Armelle – et moi. Les deux hôtesses l’encadrent sagement, effacées, les mains croisées derrière le dos, les talons joints, souriantes envers la foule, attendant quelques secondes avant de descendre du podium pour aller remballer leurs affaires et prendre sagement la direction de leur hôtel, où elles ont bien mérité une nuit de repos, en attendant le lendemain… Cela me permet aussi de serrer la main du grand champion, longuement et de façon appuyée avec une certaine connivence entre nous, et de recevoir une double bise de la part de sa « fiancée », avec un regard coquin et une lueur de complicité et un « merci » susurré rapidement à mon oreille. Avant de quitter mes deux accortes hôtesses, en service commandé, j’ai réussi à leur extorquer que, si aucun invité ne correspondait aux critères requis, il pouvait leur arriver, de ramasser un beau mec, sur le bord de la route, qui était alors tout fiérot de sa bonne aventure et pourrait en garder un souvenir plus qu’éblouissant, même s’il ne pouvait pas raconter la course du jour aux copains. Mais du Tour de France, chacun en emporte les souvenirs qu’il veut (ou qu’il peut !). Pour ma part, je suis redescendu de Courchevel dans une voiture de presse, en compagnie d’un célèbre animateur de télévision, ancien ...
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