1. Le popaul à Paul


    Datte: 28/09/2018, Catégories: fh, hagé, médical, handicap, bizarre, neuneu, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, fdanus, jouet, confession, attirautr,

    Bonjour. Je me présente : Vanille, 20 ans, 1,62 m pour 61 kg avec un tour de poitrine de 90F. Je travaille en tant qu’aide-soignante dans un centre pour handicapés depuis maintenant 6 mois. Lors de mon bac pro en sanitaire et social, j’avais fait des stages dans une maison de retraite, mais à l’obtention de mon diplôme, ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas me prendre à cause de leur budget restreint. J’ai mis 5 mois avant de trouver mon boulot au centre, même si l’on m’a dit qu’il n’avait pas une très bonne réputation, sans doute à cause des handicapés car on m’a aussi dit que c’est très dur de travailler avec des handicapés. Même si ce qu’on m’a dit s’est avéré vrai sur certains points, ce n’est rien à côté du plaisir de pouvoir aider des personnes qui n’ont rien demandé à part d’avoir voulu être comme tout le monde. Le centre est divisé en trois bâtiments : l’administration, les handicapés moteurs et celui où je suis, les handicapés mentaux (mais je préfère dire personnes à niveau intellectuel insuffisant). Les bâtiments sont juste reliés par des couloirs ; le mien est le plus petit. Il y a 15 chambres, mais il n’a généralement que 7 ou 8 pensionnaires. Ils ont souvent tendance à me surnommer « la petite rousse ». Oui, je fais 1,62 m, et non, je ne suis pas tout à fait rousse : mes cheveux sont blond vénitien. Tout se passait bien depuis 6 mois, jusqu’à l’arrivée de Paul, un homme aigri de 62 ans ; il a toujours vécu dans une ferme avec sa mère décédée depuis peu. C’est ...
    ... à cause de ses incapacités intellectuelles qu’il est arrivé au centre. Peu aimable, pas un « bonjour » ni un « merci » quand je lui porte son repas (il refuse d’aller manger au réfectoire), sans oublier qu’il me fait des grimaces. Au bout d’un moment, j’en ai eu marre de ses grimaces et je lui répondais par des grimaces. Un matin, j’arrive dans sa chambre ; il avait pissé au lit. Je lui demande de se lever pour changer ses draps. Il sort du lit et se retrouve cul nu devant moi. Je le regarde de la tête aux pieds, mais je m’arrête sur son intimité car il bande comme un taureau et en a une très grosse. Je lui dis d’aller prendre une douche pendant que je change ses draps, et surtout parce qu’il sent mauvais. Après 10 minutes, je l’entends sortir de la douche ; je ne lui adresse même pas un regard car je suis toujours occupée à mettre les draps propres. Il me donne une claque sur une fesse. Je le regarde avec un regard noir ; lui, il me répond avec un clin d’œil. Pourquoi un clin d’œil ? Parce que j’ai bien fait son lit ou parce que je lui plais ? Un fois son lit terminé, je suis partie voir les autres pensionnaires. Il faut savoir que dans le bâtiment où je travaille, nous ne sommes que deux à être entièrement dédiées à la section « mentaux ». Je travaille avec Gisèle, une femme de 55 ans, mariée depuis plus de 20 ans et qui a une fille de mon âge. Sinon il y a Martine, de la section « moteurs », qui nous remplace de temps en temps. À 32 ans, elle est considérée comme une « ...
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