1. Le popaul à Paul


    Datte: 28/09/2018, Catégories: fh, hagé, médical, handicap, bizarre, neuneu, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, fdanus, jouet, confession, attirautr,

    ... chaude lapine » ; elle me dit souvent d’en profiter tant que je suis jeune. Au fond, elle n’a pas tort : je suis toujours célibataire et mon dernier copain m’a quittée alors que j’étais encore à l’école. Depuis, je vis seule dans un petit appartement. Le temps passe ; ça fait maintenant deux mois que Paul est parmi nous. Cette semaine, je suis de nuit ; je dois m’occuper du repas du soir et rester sur place la nuit en cas de problème. Comme il reste des chambres libres, on nous autorise à dormir dans une chambre plutôt que sur un lit de camp dans un local. Vers 23 heures, avant d’aller me coucher, je fais une ronde pour voir si tout se passe bien ; souvent, je suis déjà en pyjama. Quand je vois qu’il a de la lumière dans une chambre, je passe voir ce qu’il se passe. Ce soir, c’est celle de Paul ; même si il a pris ses marques, il reste toujours peu aimable. Je frappe à la porte ; pas de réponse. J’entre : personne dans la chambre. Il y a de la lumière dans la salle de bain et la porte est entrouverte. Je regarde dans l’ouverture et je vois Paul, nu, assis sur le bord de la baignoire, avec une main qui astique sa queue. Je reste là comme hypnotisée ; je me rends compte que sa queue est vraiment grosse : elle doit faire 15 cm de long, mais elle est surtout très large (elle doit bien faire une bon 5 centimètres de diamètre). Je savais qu’elle était grosse, mais la voir en activité me donne l’impression qu’elle est encore plus grosse. Plus je la regarde, plus l’envie d’entrer est ...
    ... forte. Je serre mes cuisses pour me retenir, mais c’est dur de résister, surtout qu’il accélère le mouvement ; je me pince les tétons à travers mon haut et me mords les lèvres. Ça ne suffit pas. J’ai une main qui est descendue sous mon bas de pyjama pour aller caresser mon intimité. Il se lève et accélère d’un cran l’intensité de ses mouvements ; ça se voit qu’il est sur le point de jouir. Encore trois petites secondes : ça y est, il jouit, une quantité de sperme sort de son sexe. Il ralentit le rythme mais continue toujours de se masturber jusqu’à ce que plus rien ne sorte. Les derniers jets sont d’une puissance telle qu’il arrose le miroir. De retour dans ma chambre, je pense à la queue de Paul et à ses jets de sperme qui me pénètrent. Tellement que je me masturbe une bonne partie de la nuit ; je jouis deux, trois fois. Le lendemain matin, je suis tellement fatiguée d’avoir joui que je n’entends pas mon réveil ; c’est Martine qui me réveille. Elle m’a découverte allongée sur le ventre, nue, avec les draps par terre. Elle me donne une fessée accompagnée de ces quelques mots : « Il est l’heure de se lever, ma petite chienne en rut ! » Le beau temps est arrivé ; les mots de Martine m’ont fait réfléchir, et j’ai décidé de prendre mes distances avec Paul. Je ne veux pas devenir comme Martine, coucher avec des inconnus ou le faire avec des pensionnaires du centre, entre autres Paul. Un jour, monsieur Claude, le directeur adjoint du centre, vient me voir pour parler de Paul. Deux ...